Ministre burkinabè en charge de la communication, Filippe Savadogo
Des nouveaux métiers sont nés à partir du développement du journalisme, les métiers multiformes de la communication qui sont en train de ronger le journalisme. Cela nécessite que le journaliste sache traiter l’information de façon originale pour se démarquer des autres sinon son information sera parasitée et brouillée.
Dès lors de nombreuses questions se posent autour de ce métier complexe qu’est le journalisme. «Il est difficile de savoir si c’est dans le contenu de la formation, dans la manière de former ou dans la réflexion qu’on trouve le bon journaliste ou c’est simplement le fait de savoir transmettre le message», soutien le Professeur Serge Théophile Balima, enseignant chercheur à l’université de Ouagadougou et parrain des UACO 2009. Voila pourquoi la nécessité d’interroger à chaque fois les pratiques en cours en vue de les améliorer.
Avec l’avènement des Technologies de l’information et de la communication (TIC), l’information est plus accessible et à plus grande échelle. Selon Bouba Sow, un des conférenciers de cette rencontre, les sites portails, internet et les blogs ne s’opposent pas aux médias traditionnels. Ces nouveaux médias leur sont plutôt complémentaires et devraient constituer en même temps une source de formation pour les journalistes.
«Faut-il se former avant d’exercer le journalisme ou bien faut-il se former en exerçant le journalisme», c’est une grande question dont la vérité se trouve de part et d’autre, car il faut se former en permanence. Sur la question du ‘’gombo’’ (perdiems), qui souvent vend moins cher les journalistes, le Pr. Balima a les invité au respect de l’éthique, à être humbles, et à avoir de la personnalité.
Les instances de régulation et d’autorégulation, les écoles et instituts de formation en journalisme doivent dès lors être soutenus pour faire écoles. Les maisons de presse doivent également jouer leur partition dans la formation continue des Hommes de médias.
Pour le ministre burkinabè en charge de la communication, Filippe Savadogo, la formation des journalistes doit être permanente. «Il vaut mieux débattre d’une question sans la régler que de la régler sans en débattre». Tout comme le parrain, M. Savadogo se dit satisfait des conclusions de ces assises.
Les participants à ces Université africaines de la communication, ont plaidé entre autres pour la contribution des bonnes volontés à l’enrichissement permanent du savoir-faire professionnel des personnes physiques et morales du secteur des médias africains, le soutien des efforts en faveur du renforcement du professionnalisme dans les médias, les stages dans les Etats africains et dans le monde, le soutien de toute part de toutes initiatives allant dans le sens du renforcement véritable des capacités.
Boureima LANKOANDE
Dès lors de nombreuses questions se posent autour de ce métier complexe qu’est le journalisme. «Il est difficile de savoir si c’est dans le contenu de la formation, dans la manière de former ou dans la réflexion qu’on trouve le bon journaliste ou c’est simplement le fait de savoir transmettre le message», soutien le Professeur Serge Théophile Balima, enseignant chercheur à l’université de Ouagadougou et parrain des UACO 2009. Voila pourquoi la nécessité d’interroger à chaque fois les pratiques en cours en vue de les améliorer.
Avec l’avènement des Technologies de l’information et de la communication (TIC), l’information est plus accessible et à plus grande échelle. Selon Bouba Sow, un des conférenciers de cette rencontre, les sites portails, internet et les blogs ne s’opposent pas aux médias traditionnels. Ces nouveaux médias leur sont plutôt complémentaires et devraient constituer en même temps une source de formation pour les journalistes.
«Faut-il se former avant d’exercer le journalisme ou bien faut-il se former en exerçant le journalisme», c’est une grande question dont la vérité se trouve de part et d’autre, car il faut se former en permanence. Sur la question du ‘’gombo’’ (perdiems), qui souvent vend moins cher les journalistes, le Pr. Balima a les invité au respect de l’éthique, à être humbles, et à avoir de la personnalité.
Les instances de régulation et d’autorégulation, les écoles et instituts de formation en journalisme doivent dès lors être soutenus pour faire écoles. Les maisons de presse doivent également jouer leur partition dans la formation continue des Hommes de médias.
Pour le ministre burkinabè en charge de la communication, Filippe Savadogo, la formation des journalistes doit être permanente. «Il vaut mieux débattre d’une question sans la régler que de la régler sans en débattre». Tout comme le parrain, M. Savadogo se dit satisfait des conclusions de ces assises.
Les participants à ces Université africaines de la communication, ont plaidé entre autres pour la contribution des bonnes volontés à l’enrichissement permanent du savoir-faire professionnel des personnes physiques et morales du secteur des médias africains, le soutien des efforts en faveur du renforcement du professionnalisme dans les médias, les stages dans les Etats africains et dans le monde, le soutien de toute part de toutes initiatives allant dans le sens du renforcement véritable des capacités.
Boureima LANKOANDE