La régularité de la présidentielle burundaise est mise en cause par l'ONU
Dans un rapport préliminaire publié lundi, les observateurs ont souligné que le vote s'était globalement déroulé dans le calme.
Mais ils ont souligné que le scrutin avait été marqué par des violences et des « entraves sévères » aux libertés fondamentales.
Le Conseil de sécurité de l'ONU doit tenir des consultations ce mardi après-midi sur la crise au Burundi.
Ces discussions à huis clos se tiendront une semaine après le scrutin présidentiel qui a vu la réélection du président sortant Pierre Nkurunziza pour un troisième mandat.
Depuis le début de la crise burundaise en avril, le Conseil de sécurité de l'ONU a tenu huit réunions sur ce dossier.
Mais il reste divisé et n'a pas pris de position claire sur la crédibilité des différentes élections (législatives, locales et présidentielle) qui se sont tenues depuis fin juin.
D'un côté, les Occidentaux critiquent l'intransigeance du président Nkurunziza et la répression des opposants.
De l'autre coté, la Russie, la Chine et les membres africains du Conseil (Nigeria, Tchad, Angola) estiment qu'il s'agit d'une affaire intérieure burundaise.
Mais ils ont souligné que le scrutin avait été marqué par des violences et des « entraves sévères » aux libertés fondamentales.
Le Conseil de sécurité de l'ONU doit tenir des consultations ce mardi après-midi sur la crise au Burundi.
Ces discussions à huis clos se tiendront une semaine après le scrutin présidentiel qui a vu la réélection du président sortant Pierre Nkurunziza pour un troisième mandat.
Depuis le début de la crise burundaise en avril, le Conseil de sécurité de l'ONU a tenu huit réunions sur ce dossier.
Mais il reste divisé et n'a pas pris de position claire sur la crédibilité des différentes élections (législatives, locales et présidentielle) qui se sont tenues depuis fin juin.
D'un côté, les Occidentaux critiquent l'intransigeance du président Nkurunziza et la répression des opposants.
De l'autre coté, la Russie, la Chine et les membres africains du Conseil (Nigeria, Tchad, Angola) estiment qu'il s'agit d'une affaire intérieure burundaise.