« Rapide, régulier, sécuritaire et confortable », le BRT comporte 121 bus articulés, climatisés avec 150 places par bus. Ils sont équipés de port USB avec connexion wifi offline. Les heures de services sont calées de 5 heures à 23 heures. 300 passagers sont attendus par jour avec des « tarifs socialement acceptables ». 1263 poteaux de signalisation lumineuse tricolore (feu de signalisation) et 1550 lampadaires à faible consommation sont mis en place pour le bon déroulement du BRT. Il y a également 23 stations alimentées à l’énergie solaire et équipées pour l’information voyageuse.
La phase active dénommée BRT en scène, lancée ce 27 décembre par le premier ministre Amadou Ba se poursuivra jusqu’au 13 janvier avec au programme, « des événements populaires qui se tiendront le long du corridor du BRT et des communes traversées. Des activités de Streets Marketing, des randonnées, des concerts, la distribution de flyers, l’organisation de quizz pédagogiques,… y seront également organisés », lit-on sur le dossier de presse.
Le document stipule également que tous ces évènements feront l'objet d’une célébration en musique, image et lumière. Une stratégie mise en place afin de relayer « les informations utiles et importantes » concernant le projet, ses bénéfices, ses innovations et les exigences en matière routière ».
Financé à coût de « 419 milliards FCFA soit 69% par l’Etat du Sénégal, et 31% secteur privé (130 milliards de FCFA) », le BRT va répondre de « manière satisfaisante » à la forte demande de déplacement avec un temps de parcours qui passe de « 1heure 30mn à 45 mn de Petersen à la préfecture de Guédiawaye », souligne le document.
Selon le Directeur général du CETUD, Dr. Thierno Birahim AW, « en complément du BRT, il est prévu une restructuration globale du réseau de transport en commun (RTC) dont l’objectif est de réorganiser le réseau de bus de afin de renforcer l’offre de transport public en offrant aux usagers des correspondances avec les transports de masse, améliorant ainsi la desserte des zones éloignées. A l’en croire, « ces initiatives sont guidées par une volonté d’inscrire Dakar parmi les villes africaines les plus compétitives.. »
A noter que l’inauguration officielle est prévue pour le 14 janvier 2024 par le Président Macky Sall.
La phase active dénommée BRT en scène, lancée ce 27 décembre par le premier ministre Amadou Ba se poursuivra jusqu’au 13 janvier avec au programme, « des événements populaires qui se tiendront le long du corridor du BRT et des communes traversées. Des activités de Streets Marketing, des randonnées, des concerts, la distribution de flyers, l’organisation de quizz pédagogiques,… y seront également organisés », lit-on sur le dossier de presse.
Le document stipule également que tous ces évènements feront l'objet d’une célébration en musique, image et lumière. Une stratégie mise en place afin de relayer « les informations utiles et importantes » concernant le projet, ses bénéfices, ses innovations et les exigences en matière routière ».
Financé à coût de « 419 milliards FCFA soit 69% par l’Etat du Sénégal, et 31% secteur privé (130 milliards de FCFA) », le BRT va répondre de « manière satisfaisante » à la forte demande de déplacement avec un temps de parcours qui passe de « 1heure 30mn à 45 mn de Petersen à la préfecture de Guédiawaye », souligne le document.
Selon le Directeur général du CETUD, Dr. Thierno Birahim AW, « en complément du BRT, il est prévu une restructuration globale du réseau de transport en commun (RTC) dont l’objectif est de réorganiser le réseau de bus de afin de renforcer l’offre de transport public en offrant aux usagers des correspondances avec les transports de masse, améliorant ainsi la desserte des zones éloignées. A l’en croire, « ces initiatives sont guidées par une volonté d’inscrire Dakar parmi les villes africaines les plus compétitives.. »
A noter que l’inauguration officielle est prévue pour le 14 janvier 2024 par le Président Macky Sall.