
«Champion en titre éliminé dès le premier tour : qu'est-ce que ça vous inspire ?
C'est mieux de gagner une fois dans la vie que d'aller en quart à chaque fois et ne jamais rien gagner. Ça n'efface pas l'échec, mais je suis très fier de mes joueurs. Même dans les moments difficiles, il faut faire les bonnes analyses. Tout le monde est triste, bien sûr, mais on a fait le maximum. Les joueurs ont fait un très bon match mais n'ont pas marqué. Ce n'est pas la fin du monde.
Etait-il possible de développer votre jeu sur ce terrain médiocre ?
Si je dis que c'était difficilement jouable pour nous, on va dire que je pleure. On a un jeu fait de passes au sol et on a fait un grand match par rapport aux conditions. Quand on est venu reconnaître ce terrain il y a un mois et demi, c'était le meilleur d'Afrique du Sud, je ne sais pas ce qui s'est passé, c'est un signe du destin. C'est très difficile de changer de style quand on dirige une équipe comme la Zambie. Jouer avec huit défenseurs, ça ne m'intéresse pas. J'ai adoré voir mes joueurs même s'il y a échec, j'ai vu mes joueurs tenter quelque chose et pas dégager en touche. S'il y a un responsable, c'est moi.
Etes-vous inquiet pour votre poste ?
La Zambie, ce n'est pas comme beaucoup d'endroits dans le monde. J'ai un président très intelligent (Kalusha Bwalya, ndlr). S'il pense que c'est moi le responsable, il me le dira, et je l'accepterai parce qu'il a tellement fait pour moi. En Zambie, on est des amis, on est des frères. Si quelqu'un ne veut pas continuer avec moi, on peut aller manger ensemble et me demander de partir et je partirai. Mais même s'il y a l'élimination ce soir, je suis très fier de mes joueurs.»
C'est mieux de gagner une fois dans la vie que d'aller en quart à chaque fois et ne jamais rien gagner. Ça n'efface pas l'échec, mais je suis très fier de mes joueurs. Même dans les moments difficiles, il faut faire les bonnes analyses. Tout le monde est triste, bien sûr, mais on a fait le maximum. Les joueurs ont fait un très bon match mais n'ont pas marqué. Ce n'est pas la fin du monde.
Etait-il possible de développer votre jeu sur ce terrain médiocre ?
Si je dis que c'était difficilement jouable pour nous, on va dire que je pleure. On a un jeu fait de passes au sol et on a fait un grand match par rapport aux conditions. Quand on est venu reconnaître ce terrain il y a un mois et demi, c'était le meilleur d'Afrique du Sud, je ne sais pas ce qui s'est passé, c'est un signe du destin. C'est très difficile de changer de style quand on dirige une équipe comme la Zambie. Jouer avec huit défenseurs, ça ne m'intéresse pas. J'ai adoré voir mes joueurs même s'il y a échec, j'ai vu mes joueurs tenter quelque chose et pas dégager en touche. S'il y a un responsable, c'est moi.
Etes-vous inquiet pour votre poste ?
La Zambie, ce n'est pas comme beaucoup d'endroits dans le monde. J'ai un président très intelligent (Kalusha Bwalya, ndlr). S'il pense que c'est moi le responsable, il me le dira, et je l'accepterai parce qu'il a tellement fait pour moi. En Zambie, on est des amis, on est des frères. Si quelqu'un ne veut pas continuer avec moi, on peut aller manger ensemble et me demander de partir et je partirai. Mais même s'il y a l'élimination ce soir, je suis très fier de mes joueurs.»
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