Le capitaine du Mali Seydou Keita a mis le cap sur la finale de la FIFA 2013 Afrique des Nations en Afrique du Sud. Ce n’est pas prétentieux, simplement une saine ambition.
Quel beau cadeau d’anniversaire cela ferait pour un homme qui a fêté son 33e anniversaire le 16 janvier. Quel beau terminus pour celui qui s’apprête à disputer sa sixième phase finale. Certes la situation dramatique dans laquelle se trouve le Mali actuellement ne peut pas ne pas avoir d’incidence sur les joueurs éloignés de leur famille au moment où elles auraient tant besoin d’eux. Les événements ont ressoudé l’unité du groupe partagé entre le sentiment national et la compétition.
Le Mali est un spécialiste des surprises qui l’ont plusieurs fois conduit sur le podium ou sur la marche d’après.
«Ma responsabilité est grande en Afrique du Sud. Montrer l’exemple sur le terrain, guider les plus jeunes, ouvrir la voie à nos buteurs. Rien que le rôle d’un capitaine. Je suis préparé pour ce challenge difficile. Il faudra d’abord franchir la première car nos adversaires se méfient de nous. Nous avons une étiquette de candidat potentiel au titre après notre parcours de 2012 et, dans le groupe B, nous serons l’équipe à battre avec le Ghana. Au Gabon on n’avait cessé de monter en cadence. Cette fois je crois qu’il faudra être pied au plancher dès le premier match, compte tenu de notre statut ».
Le Mali pourra-t-il poursuivre sur le même tempo qu’il y a un an ? Nul ne le sait, mais l’équipe ne manque pas de talents et a légitimement le droit de nourrir de grands espoirs.
Source: Cafonline
Quel beau cadeau d’anniversaire cela ferait pour un homme qui a fêté son 33e anniversaire le 16 janvier. Quel beau terminus pour celui qui s’apprête à disputer sa sixième phase finale. Certes la situation dramatique dans laquelle se trouve le Mali actuellement ne peut pas ne pas avoir d’incidence sur les joueurs éloignés de leur famille au moment où elles auraient tant besoin d’eux. Les événements ont ressoudé l’unité du groupe partagé entre le sentiment national et la compétition.
Le Mali est un spécialiste des surprises qui l’ont plusieurs fois conduit sur le podium ou sur la marche d’après.
«Ma responsabilité est grande en Afrique du Sud. Montrer l’exemple sur le terrain, guider les plus jeunes, ouvrir la voie à nos buteurs. Rien que le rôle d’un capitaine. Je suis préparé pour ce challenge difficile. Il faudra d’abord franchir la première car nos adversaires se méfient de nous. Nous avons une étiquette de candidat potentiel au titre après notre parcours de 2012 et, dans le groupe B, nous serons l’équipe à battre avec le Ghana. Au Gabon on n’avait cessé de monter en cadence. Cette fois je crois qu’il faudra être pied au plancher dès le premier match, compte tenu de notre statut ».
Le Mali pourra-t-il poursuivre sur le même tempo qu’il y a un an ? Nul ne le sait, mais l’équipe ne manque pas de talents et a légitimement le droit de nourrir de grands espoirs.
Source: Cafonline