L’Algérie ne devra pas s’encombrer l’esprit de questions ce dimanche si elle veut croire encore à une qualification historique en huitièmes de finale. Battue lors de son entrée en lice dans la compétition par la Belgique (2-1), après avoir ouvert le score, Al Khadra (la verte en arabe) a fait la douloureuse expérience d’une stratégie de la prudence. Du jeu jusqu’au but de Sofiane Feghouli, puis une volonté criante de vouloir défendre en oubliant de jouer qui les a plombés : les Fennecs ne devront pas reproduire les mêmes erreurs contre la Corée du Sud. Si un match nul ne les condamnerait pas, il les mettrait dans une position délicate au moment de défier la Russie de Fabio Capello.
Côté coréen, le match nul arraché aux Russes a rassuré une équipe promise à en baver avant le début de la compétition. Si elle n’est pas la nation étonnante de fraîcheur qui avait obtenu une superbe quatrième place lors de son Mondial en 2002, la Corée du Sud a démontré contre les partenaires d’Igor Akinfeev qu’il ne fallait pas l’enterrer trop vite. Disciplinée et généreuse, elle n’en reste pas moins limitée en talent. Elle ne devrait donc pas se découvrir des masses sous peine de s’exposer à des contres qu’elle aura du mal à endiguer. Une carapace qu’elle devra mettre en péril en cas d’ouverture du score rapide des Fennecs.
Côté coréen, le match nul arraché aux Russes a rassuré une équipe promise à en baver avant le début de la compétition. Si elle n’est pas la nation étonnante de fraîcheur qui avait obtenu une superbe quatrième place lors de son Mondial en 2002, la Corée du Sud a démontré contre les partenaires d’Igor Akinfeev qu’il ne fallait pas l’enterrer trop vite. Disciplinée et généreuse, elle n’en reste pas moins limitée en talent. Elle ne devrait donc pas se découvrir des masses sous peine de s’exposer à des contres qu’elle aura du mal à endiguer. Une carapace qu’elle devra mettre en péril en cas d’ouverture du score rapide des Fennecs.