L’équipe de France n’a pas eu trop de difficulté à sortir de sa poule. Elle a effectué une tranquille promenade de santé devant l’Honduras (3-0), la Suisse (5-2) avant d’être tenue en échec par l’Equateur (0-0). Qualifiée en 8es, haut la main, elle rencontre le Nigéria, ce 30 juin, à 16 heures GMT dans « une nouvelle compétition » disent certains car l’erreur est fatale à ce stade de la compétition.
France-Nigéria, c’est aussi et surtout l’opposition entre deux styles de jeu. D’une part, le style latin des « bleus », basé sur les passes courtes, les attaques placées, la finesse et la technique.
D’autre part, le jeu rude et physique des « Super Egales », axé sur la récupération du ballon et une pression constante exercée sur le porteur du ballon.
Une autre donnée à prendre à compte, c’est la chaleur. Le thermomètre affichera 30° à l’ombre avec 45% de taux d’humidité, à 16 heure GMT, au Stade National de Brasilia. Même s’il ne risque pas de faire excessivement chaud, la lourdeur sera de rigueur.
« Ce serait un echec si on s’arrêtait face au Nigéria » avait annoncé Bakary Sagna.
France-Nigéria, c’est aussi et surtout l’opposition entre deux styles de jeu. D’une part, le style latin des « bleus », basé sur les passes courtes, les attaques placées, la finesse et la technique.
D’autre part, le jeu rude et physique des « Super Egales », axé sur la récupération du ballon et une pression constante exercée sur le porteur du ballon.
Une autre donnée à prendre à compte, c’est la chaleur. Le thermomètre affichera 30° à l’ombre avec 45% de taux d’humidité, à 16 heure GMT, au Stade National de Brasilia. Même s’il ne risque pas de faire excessivement chaud, la lourdeur sera de rigueur.
« Ce serait un echec si on s’arrêtait face au Nigéria » avait annoncé Bakary Sagna.