Le président de la Commission de la Communauté économiques des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Mohamed Ibn Chambas, a estimé, mardi à Bissau, que la communauté internationale a ’’le devoir d’aider la Guinée-Bissau’’ pour lui permettre d’’’organiser des élections transparentes’’.
Ce petit pays d’Afrique de l’Ouest traverse une période difficile après l’assassinat du président démocratiquement élu Nino Vieira et du chef d’état-major général des armées, le général Tagme Na Wae.
Interrogé sur l’appel lancé par le président par intérim et le vice-président de l’Assemblée nationale Cherif Nhamadjo pour un soutien de la communauté internationale, le président de la Commission de la CEDEAO a indiqué que l’organisation régionale entend s’impliquer rapidement dans l’accompagnement de la Guinée-Bissau.
’’Les délais prévus par la Constitution sont très courts. Il sera difficile pour la Guinée-Bissau de trouver les moyens de faire cette élection dans ces délais. Donc, nous avons un devoir, la CEDEAO, l’Afrique, la communauté internationale et les amis partenaires de la Guinée-Bissau, de les accompagner pour trouver les moyens d’assurer une élection transparente, crédible, libre et juste’’, a-t-il déclaré.
Il a par ailleurs salué l’attitude de l’armée, la qualifiant ’’d’encourageante’’. Selon lui, il n’y a pas eu de ’’coup d’Etat’’ encore moins de ’’tentative’’ de coup d’Etat.
’’Ce n’est pas un assassinat et l’armée, qui reste dans les casernes, est républicaine. Ça, c’est très bien’’, s’est-il félicité.
Après avoir assisté à la prestation de serment du président par intérim de la Guinée-Bissau, Mohamed Ibn Chambas s’est félicité du caractère encourageant de la façon dont le processus a été géré au lendemain des évènements tragiques qui ont secoué le pays.
’’Vraiment, c’est un moment douloureux, mais ce qu’on a vu nous encourage. Parce qu’après le dernier jour qui était très tragique, le peuple de bissau-guinéen est dans une voie qui va peut être l’amener dans le rétablissement de l’ordre constitutionnel. Ça, c’est vraiment encourageant’’, s’est-il encore réjoui.
Source : APS
Ce petit pays d’Afrique de l’Ouest traverse une période difficile après l’assassinat du président démocratiquement élu Nino Vieira et du chef d’état-major général des armées, le général Tagme Na Wae.
Interrogé sur l’appel lancé par le président par intérim et le vice-président de l’Assemblée nationale Cherif Nhamadjo pour un soutien de la communauté internationale, le président de la Commission de la CEDEAO a indiqué que l’organisation régionale entend s’impliquer rapidement dans l’accompagnement de la Guinée-Bissau.
’’Les délais prévus par la Constitution sont très courts. Il sera difficile pour la Guinée-Bissau de trouver les moyens de faire cette élection dans ces délais. Donc, nous avons un devoir, la CEDEAO, l’Afrique, la communauté internationale et les amis partenaires de la Guinée-Bissau, de les accompagner pour trouver les moyens d’assurer une élection transparente, crédible, libre et juste’’, a-t-il déclaré.
Il a par ailleurs salué l’attitude de l’armée, la qualifiant ’’d’encourageante’’. Selon lui, il n’y a pas eu de ’’coup d’Etat’’ encore moins de ’’tentative’’ de coup d’Etat.
’’Ce n’est pas un assassinat et l’armée, qui reste dans les casernes, est républicaine. Ça, c’est très bien’’, s’est-il félicité.
Après avoir assisté à la prestation de serment du président par intérim de la Guinée-Bissau, Mohamed Ibn Chambas s’est félicité du caractère encourageant de la façon dont le processus a été géré au lendemain des évènements tragiques qui ont secoué le pays.
’’Vraiment, c’est un moment douloureux, mais ce qu’on a vu nous encourage. Parce qu’après le dernier jour qui était très tragique, le peuple de bissau-guinéen est dans une voie qui va peut être l’amener dans le rétablissement de l’ordre constitutionnel. Ça, c’est vraiment encourageant’’, s’est-il encore réjoui.
Source : APS