Les Ghanéens ont donné dès les premières secondes de la rencontre l'impression de vouloir s'imposer. Mais les Zimbabwéens se sont très rapidement mis en place et ont profité d'un départ sur le côté gauche d'ouvrir la marque d'une tête, au premier poteau d'Ovidy Karuru. On jouait depuis cinq minutes. Grosse incrédulité dans le stade qui n'avait pas encore pris connaissance de cette équipe du Zimbabwe qu'il la voyait faire la différence. Les Ghanéens s'efforçaient de réagir, les Zimbabwéens continuaient d'être tout à fait à l'aise, très en jambes, multipliant les offensives dans toutes les directions. Les Ghanéens étaient un ton en dessous, se créant pourtant des occasions de remonter leur handicap, sur une action de Badu au quart d'heure de jeu, ou quelques instants plus tard sur un centre tir extrêmement dangereux de Coffie. La partie était plaisante, les Zimbabwéens étaient de plus en plus séduisants, habiles techniciens, vifs, parfaitement organisés dans chacune des lignes solidaires les unes des autres. Un jeu…à la ghanéenne ! Et à la 36e minute l'équipe doublait la mise. Une passe en retrait à son gardien d'Ibrahim Ayew interceptée par Philip Marufu qui de la tête trompait MacCarthy. On s'acheminait vers la mi-temps lorsque sortant de leur mutisme les Ghanéens bénéficiaient d'un coup de pied arrêté à trente mètres du but de Manyatera. Le ballon arrivait dans les pieds d'Ayew au cœur de la surface. Il ne laissait aucun espoir à Manyatera. 2-1 pour les Zimbabwéens à mi-temps. Non, on ne s'était pas ennuyé.
Les Black Stars revenaient sur la pelouse déterminés à bousculer leurs adversaires, donnant un coup d'accélérateur très net à la rencontre. Ils étaient les premiers sur le ballon, alternaient jeu court et jeu long, avaient l'initiative de la partie sans inquiéter le gardien Manyatera. Au contraire sur le premier contre zimbabwéen, à l'heure de jeu, une frappe de vingt mètres de Marufu s'écrasait sur la transversale. Le Zimbabwe avait été bien près de son troisième but. Les guerriers avaient fait la sieste, mais ils ne dormaient que d'un œil. L'un était ouvert, l'autre clos. A la 67e minute ce fut la version œil fermé. Un centre d'Ayew au premier poteau voyait la balle, sans véritable danger, poussée dans son but par le gardien zimbabwéen. Une maladresse qui remettait les deux protagonistes à égalité. Le Ghana continuait d'appuyer n'étant menacé que par les montées du seul Philip Marufu, toujours à l'affût d'une prise de risque. Il terminait la partie à dix contre onze après un deuxième carton jaune brandi à Appiah. Mené 2-0 après trente cinq minutes, le Ghana aura su encaisser le choc et repartir vers un avenir qui reste souriant. Le Zimbabwe a payé ses efforts de la période initiale dans la seconde moitié de la rencontre. Il n'a toutefois peut-être pas fini de surprendre.
Les Black Stars revenaient sur la pelouse déterminés à bousculer leurs adversaires, donnant un coup d'accélérateur très net à la rencontre. Ils étaient les premiers sur le ballon, alternaient jeu court et jeu long, avaient l'initiative de la partie sans inquiéter le gardien Manyatera. Au contraire sur le premier contre zimbabwéen, à l'heure de jeu, une frappe de vingt mètres de Marufu s'écrasait sur la transversale. Le Zimbabwe avait été bien près de son troisième but. Les guerriers avaient fait la sieste, mais ils ne dormaient que d'un œil. L'un était ouvert, l'autre clos. A la 67e minute ce fut la version œil fermé. Un centre d'Ayew au premier poteau voyait la balle, sans véritable danger, poussée dans son but par le gardien zimbabwéen. Une maladresse qui remettait les deux protagonistes à égalité. Le Ghana continuait d'appuyer n'étant menacé que par les montées du seul Philip Marufu, toujours à l'affût d'une prise de risque. Il terminait la partie à dix contre onze après un deuxième carton jaune brandi à Appiah. Mené 2-0 après trente cinq minutes, le Ghana aura su encaisser le choc et repartir vers un avenir qui reste souriant. Le Zimbabwe a payé ses efforts de la période initiale dans la seconde moitié de la rencontre. Il n'a toutefois peut-être pas fini de surprendre.