« Vendre - acheter - investir ». Le triptyque colle bien avec la foire de Dakar qui, au fil des ans, prend de l’importance dans les activités économiques du Sénégal. Et c’est bien la conviction du Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré, qui place cette manifestation parmi les moments privilégiés d’échanges et d’opportunités d’affaires entre les différents opérateurs économiques nationaux et internationaux et, particulièrement, de la sous-région ouest-africaine. Et le choix du thème : « le commerce africain à l’ère du numérique », pour cette édition, réconforte bien le chef du gouvernement parce qu’il s’agit pour lui « d’un choix d’exploration commun des voies modernes que les Nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic) offrent à l’expansion des activités commerciales pour le continent ». Le défi de taille pour l’Afrique, selon M. Soumaré, est d’inverser la tendance à la détérioration continue de ses performances commerciales qui durent depuis des décennies.
« Qu’il s’agisse de la place du continent dans les échanges mondiaux ou de la croissance des exportations africaines, les résultats sont en baisse et la marginalisation de l Afrique est d’autant plus accentuée », soutien le Premier ministre. Des chiffres à l’appui, il justifie cette chute du niveau des exportations qui se situent aujourd’hui à - 2 % alors que dans les années 1970 elles étaient à 5 %.
Toutefois, selon Hadjibou Soumaré, de récentes études ont dévoilé de véritables opportunités d’échanges pour le Sénégal et dans des domaines bien diversifiés comme les télé services, la téléinformatique, la télésurveillance, de la télé médecine, etc.
Et tout ce développement dans le commerce des biens et services à l’ère du numérique n’aurait pas, à son avis, été possible sans une bonne compréhension et une bonne utilisation de la finance électronique avec l’introduction de plus en plus de produits financiers sous forme électronique. C’est donc une nécessité, à son avis, pour l’Afrique de s’adapter à l’environnement international qui exige la réduction de la fracture numérique. Il a invité les gouvernements, opérateurs du secteur privé, les institutions, etc. à cette vaste réflexion qui relève d’un secteur vital pour la croissance et le développement.
Auparavant, l’ambassadeur de la Tunisie dont le pays est l’invité d’honneur de cette 18e Fidak et le directeur général du Cices ont aussi apprécié le professionnalisme et le choix du thème et ont exalté les relations d’échanges entre le Sénégal et la Tunisie dont les deux chefs d’Etat partagent la même approche de la coopération économique.
« Qu’il s’agisse de la place du continent dans les échanges mondiaux ou de la croissance des exportations africaines, les résultats sont en baisse et la marginalisation de l Afrique est d’autant plus accentuée », soutien le Premier ministre. Des chiffres à l’appui, il justifie cette chute du niveau des exportations qui se situent aujourd’hui à - 2 % alors que dans les années 1970 elles étaient à 5 %.
Toutefois, selon Hadjibou Soumaré, de récentes études ont dévoilé de véritables opportunités d’échanges pour le Sénégal et dans des domaines bien diversifiés comme les télé services, la téléinformatique, la télésurveillance, de la télé médecine, etc.
Et tout ce développement dans le commerce des biens et services à l’ère du numérique n’aurait pas, à son avis, été possible sans une bonne compréhension et une bonne utilisation de la finance électronique avec l’introduction de plus en plus de produits financiers sous forme électronique. C’est donc une nécessité, à son avis, pour l’Afrique de s’adapter à l’environnement international qui exige la réduction de la fracture numérique. Il a invité les gouvernements, opérateurs du secteur privé, les institutions, etc. à cette vaste réflexion qui relève d’un secteur vital pour la croissance et le développement.
Auparavant, l’ambassadeur de la Tunisie dont le pays est l’invité d’honneur de cette 18e Fidak et le directeur général du Cices ont aussi apprécié le professionnalisme et le choix du thème et ont exalté les relations d’échanges entre le Sénégal et la Tunisie dont les deux chefs d’Etat partagent la même approche de la coopération économique.
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