« Barth ne peut pas sérieusement songer à diriger le Parti socialiste. Ses ambitions ne vont pas jusque-là. Tout au plus, rejoindra-t-il l’Alliance pour la République (Apr). C’est une annonce fictive destinée à faire diversion et qui ne repose sur rien. Il n’a même pas l’entregent nécessaire pour pouvoir briguer une telle position », souligne Malick dans les colonnes du même journal.
En ce qui concerne la succession de leur mentor, Ousmane Tanor Dieng, Malick Noël Seck précise : « Mon rôle n’est ni de remplacer Tanor ni d’organiser sa succession. Pour des millions de Sénégalais, le Parti socialiste représente un certain espoir. Ils veulent qu’un parti fort restaure la dignité nationale, le droit à l’emploi, l’égalité sociale, l’idée de justice, les droits de la Femme et de l’Enfant ».
« Tanor a été rejeté par 89% de l’électorat. Il sera difficile à son successeur de faire pire. Tout le monde sait que le régime du clientélisme qu’il nous a imposé signifie la mort du Parti socialiste ! Les manipulations auxquelles il s’est livré récemment pour rejoindre dans l’urgence BBY pour mieux diluer son impopularité dans une alliance contre-nature a d’ores et déjà compromis une victoire possible du Ps aux élections de 2017 », martèle le leader de « Convergence socialiste ».
En ce qui concerne la succession de leur mentor, Ousmane Tanor Dieng, Malick Noël Seck précise : « Mon rôle n’est ni de remplacer Tanor ni d’organiser sa succession. Pour des millions de Sénégalais, le Parti socialiste représente un certain espoir. Ils veulent qu’un parti fort restaure la dignité nationale, le droit à l’emploi, l’égalité sociale, l’idée de justice, les droits de la Femme et de l’Enfant ».
« Tanor a été rejeté par 89% de l’électorat. Il sera difficile à son successeur de faire pire. Tout le monde sait que le régime du clientélisme qu’il nous a imposé signifie la mort du Parti socialiste ! Les manipulations auxquelles il s’est livré récemment pour rejoindre dans l’urgence BBY pour mieux diluer son impopularité dans une alliance contre-nature a d’ores et déjà compromis une victoire possible du Ps aux élections de 2017 », martèle le leader de « Convergence socialiste ».