Les marchants ambulants sont très remontés contre les autorités gouvernementales qu’ils accusent de n’avoir pas tenu leurs promesses. Ils accusent les autorités de ne pas respecter les engagements pris.
Pour eux, il y a anguille sous roche derrière ce refus d’exécution des directives données après la rencontre avec le chef de l’Etat. «Il y a une main politique dans ce dossier parce qu’après le conseil présidentiel que le président de la république avait accordé aux marchands ambulants, je pense que c’était clair dans l’opinion», clame Moustapha Mbaye Sy du regroupement national des jeunes marchands ambulantes de Dakar. «C’est le président qui avait dit que nous lui avions convaincu du fait que les dossiers que nous lui avions présenté étaient fiables et pourraient régler définitivement le dossier des marchands ambulants», a-t-il poursuivi.
Mais, les marchands ambulants ont constaté que rien ne bouge. Selon eux, la faute incombe au Premier ministre qui n’a pas exécuté les directives du chef de l’Etat. Pire, le Président du regroupement national des marchands ambulants du Sénégal accuse des personnes de vouloir utiliser leurs noms à des fins personnelles. «Il y a des gens qui veulent s’enrichir sur le dos des marchands ambulants», fait-il remarquer avant d’avertir que «cela ne passera pas «sinon il y aura d’autres personnes qui vont infiltrer ces mouvements et les utiliser à d’autres fins». «Nous ne l’accepterons jamais», a enfoncé Moustapha Mbaye Sy qui rappelle que lors de leur rencontre, le chef de l’Etat avait instruit le Premier Ministre de rencontrer les promoteurs et les marchands ambulants pour s’accorder sur des prix. Après quoi, le dossier devrait retourner, impérativement, chez le chef de l’Etat qui devrait subventionner les cantines à hauteur d’un million ou de sept cent cinquante mille.
En effet, raconte M. Sy, «on lui (Me Wade) avait dit que les cantines étaient trop chers. Une cantine revient à deux millions sept cents cinquante mille francs payables en 36 mois, soit 76 000 par mois», a expliqué M. Sy.
Les marchands ambulants sont aussi courroucés par l’attitude d’une conseillère technique du Président de la République. « Le phénomène qui se pose aujourd’hui, c’est que Mme Fatoumata Sèye, conseillère technique de Me Wade, qui pilote ce dossier depuis longtemps a initié une autre manière d’infiltrer les marchands ambulants », explique M. Sy qui poursuit qu’elle convoque de manière clandestine les «ambulants». Cette attitude ne saurait se faire accepter chez les collègues de Moustapha Sy. Alors, va-t-on vers un nouveau clash entre les autorités et les marchands ambulants ?
Pour eux, il y a anguille sous roche derrière ce refus d’exécution des directives données après la rencontre avec le chef de l’Etat. «Il y a une main politique dans ce dossier parce qu’après le conseil présidentiel que le président de la république avait accordé aux marchands ambulants, je pense que c’était clair dans l’opinion», clame Moustapha Mbaye Sy du regroupement national des jeunes marchands ambulantes de Dakar. «C’est le président qui avait dit que nous lui avions convaincu du fait que les dossiers que nous lui avions présenté étaient fiables et pourraient régler définitivement le dossier des marchands ambulants», a-t-il poursuivi.
Mais, les marchands ambulants ont constaté que rien ne bouge. Selon eux, la faute incombe au Premier ministre qui n’a pas exécuté les directives du chef de l’Etat. Pire, le Président du regroupement national des marchands ambulants du Sénégal accuse des personnes de vouloir utiliser leurs noms à des fins personnelles. «Il y a des gens qui veulent s’enrichir sur le dos des marchands ambulants», fait-il remarquer avant d’avertir que «cela ne passera pas «sinon il y aura d’autres personnes qui vont infiltrer ces mouvements et les utiliser à d’autres fins». «Nous ne l’accepterons jamais», a enfoncé Moustapha Mbaye Sy qui rappelle que lors de leur rencontre, le chef de l’Etat avait instruit le Premier Ministre de rencontrer les promoteurs et les marchands ambulants pour s’accorder sur des prix. Après quoi, le dossier devrait retourner, impérativement, chez le chef de l’Etat qui devrait subventionner les cantines à hauteur d’un million ou de sept cent cinquante mille.
En effet, raconte M. Sy, «on lui (Me Wade) avait dit que les cantines étaient trop chers. Une cantine revient à deux millions sept cents cinquante mille francs payables en 36 mois, soit 76 000 par mois», a expliqué M. Sy.
Les marchands ambulants sont aussi courroucés par l’attitude d’une conseillère technique du Président de la République. « Le phénomène qui se pose aujourd’hui, c’est que Mme Fatoumata Sèye, conseillère technique de Me Wade, qui pilote ce dossier depuis longtemps a initié une autre manière d’infiltrer les marchands ambulants », explique M. Sy qui poursuit qu’elle convoque de manière clandestine les «ambulants». Cette attitude ne saurait se faire accepter chez les collègues de Moustapha Sy. Alors, va-t-on vers un nouveau clash entre les autorités et les marchands ambulants ?
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