Ce cadre, comme indiqué "est un regroupement spontané de citoyens et citoyennes sénégalais.e.s de tous les horizons, d’organisations de la société civile nationale et d’organisations de défense, des droits des femmes en vue de dénoncer collectivement la sous représentativité des femmes dans le premier gouvernement du nouveau régime sénégalais à la suite des élections présidentielles du 25 Mars 2024. Sur 25 ministres, 5 secrétaires d’État, et 4 membres du cabinet du chef d’État, soit 34 postes, seules 4 femmes sont présentes".
Ainsi, martèle ce cadre de regroupement de femmes. "cette inqualifiable sous-représentation induit une perte intolérable d’intelligences et de visions que seuls le pluralisme et l’inclusion permettent de garantir. Il n’y a aucun secteur dans lequel on ne trouve pas des femmes qui allient compétence, expérience et dévouement de premier ordre".
De plus, la sous-représentation des femmes et la nouvelle dénomination de ce ministère n'est pas encore digérée par les organisations de femmes. "À ce manquement, s’ajoute la revendication contre la suppression du mot “FEMME” dans la nouvelle dénomination du ministère de la Famille et des Solidarités. Cela est sans nulle doute une marque de régression après plus de 60 ans de plaidoyer et d’actions concertées en vue d’obtenir des avancées significatives en matière de droits des femmes et des filles", ont regretté les membres de cette organisation.
Ainsi, martèle ce cadre de regroupement de femmes. "cette inqualifiable sous-représentation induit une perte intolérable d’intelligences et de visions que seuls le pluralisme et l’inclusion permettent de garantir. Il n’y a aucun secteur dans lequel on ne trouve pas des femmes qui allient compétence, expérience et dévouement de premier ordre".
De plus, la sous-représentation des femmes et la nouvelle dénomination de ce ministère n'est pas encore digérée par les organisations de femmes. "À ce manquement, s’ajoute la revendication contre la suppression du mot “FEMME” dans la nouvelle dénomination du ministère de la Famille et des Solidarités. Cela est sans nulle doute une marque de régression après plus de 60 ans de plaidoyer et d’actions concertées en vue d’obtenir des avancées significatives en matière de droits des femmes et des filles", ont regretté les membres de cette organisation.
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