Le jury disciplinaire de la CAF s'est réuni pour examiner les accusations contre Samuel Eto'o, notamment celles liées à la manipulation présumée de matches de football. Bien que le jury ait conclu qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves pour le déclarer coupable de manipulation de matches, Eto'o a été reconnu coupable d'une autre violation grave : avoir signé un contrat d'ambassadeur avec une société de paris sportifs en échange d'une rémunération.
Il a été établi que le président de la Fécafoot a sérieusement enfreint les principes d'éthique, d'intégrité et d'esprit sportif énoncés à l'article 2 alinéa 3 des Statuts de la CAF en signant un tel contrat. Cette décision fait suite à la divulgation d'un enregistrement téléphonique incriminant impliquant Eto'o et Valentin Nkwain, président du club de Victoria United, concernant des allégations de favoritisme pour l'accession de ce club en première division camerounaise.
Malgré cette condamnation, Samuel Eto'o reste président de la FECAFOOT, mais il devra s'acquitter d'une amende de 200 000 USD (environ 185 000 euros) dans un délai de 60 jours.
Il a été établi que le président de la Fécafoot a sérieusement enfreint les principes d'éthique, d'intégrité et d'esprit sportif énoncés à l'article 2 alinéa 3 des Statuts de la CAF en signant un tel contrat. Cette décision fait suite à la divulgation d'un enregistrement téléphonique incriminant impliquant Eto'o et Valentin Nkwain, président du club de Victoria United, concernant des allégations de favoritisme pour l'accession de ce club en première division camerounaise.
Malgré cette condamnation, Samuel Eto'o reste président de la FECAFOOT, mais il devra s'acquitter d'une amende de 200 000 USD (environ 185 000 euros) dans un délai de 60 jours.
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