Depuis l’annonce de la candidature du président Paul Biya à la prochaine élection présidentielle du 7 octobre ; les troubles ne cessent de s’intensifier. La zone anglophone est de plus en plus secouée par des attaques ciblées de la part des sécessionnistes.
La sécurité dans les régions anglophones du Cameroun, en proie à une grave crise socio-politique s'est considérablement dégradée. Le courroux des sécessionnistes se traduit par l’intensification des troubles. D’abord dans la ville balnéaire de Limbé située au sud-ouest, la station d’emballage de la Cameroon Development Corporation (CDC), entreprise publique spécialisée dans l’exploitation de la banane, a été détruite dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Une situation de panique générale constatée chez la population depuis que la nouvelle s’est répandue. Cette derniere redoute le déclenchement des scènes macabres observées dans les villes de Buea et Bamenda.
Dans le même ordre de panique, en Ndop, non loin de Bamenda dans le nord-ouest, une attaque survenue au petit matin du lundi 16 juillet, fait état d’un policier tué, un autre blessé et de trois agents de police au grade de gardien de la paix kidnappés en plein exercice de leurs fonctions. Ils faisaient partie d’une unité chargée du contrôle. Pourtant vendredi dernier le ministre de la Défense présent dans la localité a pris note de ce qu’il faut améliorer en matière de sécurité. Face à ces différents actes, les dispositions sont donc prises pour mettre hors d’état de nuire ces sécessionnistes qui réclament plus que jamais l’indépendance de la zone anglophone.
La sécurité dans les régions anglophones du Cameroun, en proie à une grave crise socio-politique s'est considérablement dégradée. Le courroux des sécessionnistes se traduit par l’intensification des troubles. D’abord dans la ville balnéaire de Limbé située au sud-ouest, la station d’emballage de la Cameroon Development Corporation (CDC), entreprise publique spécialisée dans l’exploitation de la banane, a été détruite dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Une situation de panique générale constatée chez la population depuis que la nouvelle s’est répandue. Cette derniere redoute le déclenchement des scènes macabres observées dans les villes de Buea et Bamenda.
Dans le même ordre de panique, en Ndop, non loin de Bamenda dans le nord-ouest, une attaque survenue au petit matin du lundi 16 juillet, fait état d’un policier tué, un autre blessé et de trois agents de police au grade de gardien de la paix kidnappés en plein exercice de leurs fonctions. Ils faisaient partie d’une unité chargée du contrôle. Pourtant vendredi dernier le ministre de la Défense présent dans la localité a pris note de ce qu’il faut améliorer en matière de sécurité. Face à ces différents actes, les dispositions sont donc prises pour mettre hors d’état de nuire ces sécessionnistes qui réclament plus que jamais l’indépendance de la zone anglophone.
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