Dans un courrier adressé à l'ambassadeur camerounais, le ministère de la Défense centrafricain explique ce crime par des « actes de violence perpétrés contre un véhicule des alliés ». Mais plusieurs syndicats de routiers camerounais dénoncent des violences perpétrées par des éléments des paramilitaires russes eux-mêmes.
Ils ont cessé de rouler, bloquent le passage de la frontière entre Garoua et Boulaï et réclament des indemnisations pour la famille de la victime.
Ils ont cessé de rouler, bloquent le passage de la frontière entre Garoua et Boulaï et réclament des indemnisations pour la famille de la victime.