Sur la grande place du village, le cercueil dans lequel est enfermé le corps sans vie d’Amobé Mévégué et sur lequel ses proches parents, ainsi que son épouse Coumba Sow, veillent est exposé à la vue du millier de personnes ayant fait le déplacement à Nkolbogo.
Dans la foule, tous sont incrédules à l’instar de Marie-Roger Biloa, grande amie du défunt, venue de Paris lui rendre un dernier hommage : « Je ne comprends pas et je me dis seulement que ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas quelque chose qu’il ne faut pas l’accepter. Les faits sont devant nous. On est à un enterrement, son enterrement. Il est bien parti ».
« Apprécié, reconnu, admiré »
L’homélie terminée, les témoignages s’enchaînent. Le Cameroun, l’Afrique, le monde vient de perdre un homme exceptionnel, un homme des médias, mais pas que, viscéralement attaché à l’Afrique dont il a sublimé toute sa vie la culture. « C’est un grand frère dont on ne qualifiera point l’action parce qu’elle est immense. D’ailleurs, elle n’est même pas à la hauteur du Cameroun. Il était apprécié, reconnu, admiré, une source d’inspiration », déclare une des personnes présentes.
Ainsi est close la vie trépidante de cet orfèvre des mots dans ce village de Nkolbogo où il a souhaité reposer pour l’éternité auprès des siens.
Dans la foule, tous sont incrédules à l’instar de Marie-Roger Biloa, grande amie du défunt, venue de Paris lui rendre un dernier hommage : « Je ne comprends pas et je me dis seulement que ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas quelque chose qu’il ne faut pas l’accepter. Les faits sont devant nous. On est à un enterrement, son enterrement. Il est bien parti ».
« Apprécié, reconnu, admiré »
L’homélie terminée, les témoignages s’enchaînent. Le Cameroun, l’Afrique, le monde vient de perdre un homme exceptionnel, un homme des médias, mais pas que, viscéralement attaché à l’Afrique dont il a sublimé toute sa vie la culture. « C’est un grand frère dont on ne qualifiera point l’action parce qu’elle est immense. D’ailleurs, elle n’est même pas à la hauteur du Cameroun. Il était apprécié, reconnu, admiré, une source d’inspiration », déclare une des personnes présentes.
Ainsi est close la vie trépidante de cet orfèvre des mots dans ce village de Nkolbogo où il a souhaité reposer pour l’éternité auprès des siens.
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