répandues. D'abord sur le fait que Martinez Zogo a subi de graves actes de tortures. Selon cette autopsie réalisée en février 2023 et dont de larges extraits sont révélés par le confrère Jeune Afrique, les organes génitaux du journaliste et sa langue étaient « tuméfiés ».
Le corps présentait de nombreuses lésions ainsi que des ecchymoses, notamment au niveau de la paupière droite, de la cavité buccale et des mains. Parmi les nombreux sévices corporels subis, l'un avait un « caractère sexuel » indique le rapport des légistes.
En réaction à ces révélations, Me Calvin Job, l'un des avocats des ayants droits de Martinez Zogo, a déclaré à RFI que « cette autopsie vient mettre au grand jour le martyr subi par Martinez ». « Ses bourreaux, a-t-il poursuivi, ne lui ont laissé aucune chance de survie ».
Pour cet avocat, Martinez est mort des suites de ces actes de torture. C'est aussi ce que dit le rapport qui dans ses conclusions suggère que la mort est survenue à cause des nombreuses violences subies.
Me Ndoumou Paul, qui fait quant à lui partie des conseils de l'homme d'affaires Jean-Pierre Amougou Belinga, voit dans ce rapport des éléments qui permettent d'attester l'hypothèse en circulation d'un deuxième commando. C'est ce commando qui, à la suite du premier qui a procédé à l'enlèvement et aux premiers actes de tortures sur le journaliste, se serait occupé de l'assassiner. Une piste d'investigations que poursuit en ce moment le nouveau juge d'instruction, avance-t-il.
L'argument qui vient en soutien à cette hypothèse est aussi tiré de ce rapport d'autopsie qui suggère que « le lieu de la découverte du corps est une scène de crime secondaire ». Ainsi, selon cette version, Martinez aurait été tué ailleurs que là où le corps a été retrouvé.
Le corps présentait de nombreuses lésions ainsi que des ecchymoses, notamment au niveau de la paupière droite, de la cavité buccale et des mains. Parmi les nombreux sévices corporels subis, l'un avait un « caractère sexuel » indique le rapport des légistes.
En réaction à ces révélations, Me Calvin Job, l'un des avocats des ayants droits de Martinez Zogo, a déclaré à RFI que « cette autopsie vient mettre au grand jour le martyr subi par Martinez ». « Ses bourreaux, a-t-il poursuivi, ne lui ont laissé aucune chance de survie ».
Pour cet avocat, Martinez est mort des suites de ces actes de torture. C'est aussi ce que dit le rapport qui dans ses conclusions suggère que la mort est survenue à cause des nombreuses violences subies.
Me Ndoumou Paul, qui fait quant à lui partie des conseils de l'homme d'affaires Jean-Pierre Amougou Belinga, voit dans ce rapport des éléments qui permettent d'attester l'hypothèse en circulation d'un deuxième commando. C'est ce commando qui, à la suite du premier qui a procédé à l'enlèvement et aux premiers actes de tortures sur le journaliste, se serait occupé de l'assassiner. Une piste d'investigations que poursuit en ce moment le nouveau juge d'instruction, avance-t-il.
L'argument qui vient en soutien à cette hypothèse est aussi tiré de ce rapport d'autopsie qui suggère que « le lieu de la découverte du corps est une scène de crime secondaire ». Ainsi, selon cette version, Martinez aurait été tué ailleurs que là où le corps a été retrouvé.