Alors qu'il roule en direction de Mbengwi, à une trentaine de kilomètres de Bamenda, la capitale régionale, le convoi du préfet du département de Momo est, selon les autorités, soufflé par l'explosion de grosses bonbonnes de gaz.
Il est alors 1h du matin, et le convoi, lourdement escorté par les militaires de la brigade d'infanterie motorisée, rentre de plusieurs localités dans lesquelles le préfet venait d'installer deux de ses subalternes.
Le véhicule de tête est pris dans l'explosion, tuant quatre militaires, ainsi qu'une civile, la responsable de la communication du préfet, Rebecca Jeme. Un deuxième est projeté dans un ravin, un autre est immobilisé, tandis que le reste du convoi, dont le véhicule du préfet, parvient à s'échapper, sous les tirs des assaillants.
Vers 3h du matin, les officiels de l'état-major camerounais se réunissent en vue d'organiser, à l'aube, une opération de sauvetage des survivants et de récupération des corps. opération dont nous n'avons pas encore eu de retour. Le bilan humain est donc provisoire.
Toujours selon les autorités, les responsables de cette attaque seraient les séparatistes anglophones, dans une région en proie au conflit entre rebelles ambazoniens et forces de sécurité camerounaises depuis 2017.
Il est alors 1h du matin, et le convoi, lourdement escorté par les militaires de la brigade d'infanterie motorisée, rentre de plusieurs localités dans lesquelles le préfet venait d'installer deux de ses subalternes.
Le véhicule de tête est pris dans l'explosion, tuant quatre militaires, ainsi qu'une civile, la responsable de la communication du préfet, Rebecca Jeme. Un deuxième est projeté dans un ravin, un autre est immobilisé, tandis que le reste du convoi, dont le véhicule du préfet, parvient à s'échapper, sous les tirs des assaillants.
Vers 3h du matin, les officiels de l'état-major camerounais se réunissent en vue d'organiser, à l'aube, une opération de sauvetage des survivants et de récupération des corps. opération dont nous n'avons pas encore eu de retour. Le bilan humain est donc provisoire.
Toujours selon les autorités, les responsables de cette attaque seraient les séparatistes anglophones, dans une région en proie au conflit entre rebelles ambazoniens et forces de sécurité camerounaises depuis 2017.
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