D’après le président de la commission partenariat et financement de l’interprofession cajou du Sénégal, Seydou Diallo, qui s'est confié à la radio Trade Fm, « l’année dernière, le prix a tourné au tour de 300 et 400 fcfa au niveau producteur et cette année nous pensons que le prix sera dans cette fourchette encore tout en pensant que le prix augment plus que ça pour que les producteurs gagnent ».
Cette ambition se heurte au souhait du consommateur final qui plus il est intéressée plus le prix grimpe, moins il est intéressé, le prix diminue. La noix de cajou considérée comme le socle de base de l’économie de la Casamance souvent la majorité des producteurs ou collecteurs finissent par brader leurs marchandises.
A la question de savoir si une homologation des prix ne serait pas une issue de secours pour eux, Ibrahima Khalil Sagna répond « l’homologation de prix suppose que vous donnez le choix aux investisseurs de venir ou de ne pas venir. L’homologation des prix finis en général par une subvention de l’Etat pour stabiliser les prix. Aujourd’hui, le prix du cajou 500fcfa alors que le marché le fait à 400f, il risque d’avoir mévente ».
Le président de la commission partenariat et financement de l’interprofession cajou du Sénégal opte pour une harmonisation des prix, mais plaide surtout pour la création de coopérative des producteurs.
« Ils doivent s’organiser en coopérative. Mais la vente individuelle d’une tonne de noix de cajou par producteur casse le prix au point que, s’ils avaient regroupé en 50 tonnes, vendre en gros en collectif, ils pourraient avoir un prix plus intéressant », soutient-il.
Cette ambition se heurte au souhait du consommateur final qui plus il est intéressée plus le prix grimpe, moins il est intéressé, le prix diminue. La noix de cajou considérée comme le socle de base de l’économie de la Casamance souvent la majorité des producteurs ou collecteurs finissent par brader leurs marchandises.
A la question de savoir si une homologation des prix ne serait pas une issue de secours pour eux, Ibrahima Khalil Sagna répond « l’homologation de prix suppose que vous donnez le choix aux investisseurs de venir ou de ne pas venir. L’homologation des prix finis en général par une subvention de l’Etat pour stabiliser les prix. Aujourd’hui, le prix du cajou 500fcfa alors que le marché le fait à 400f, il risque d’avoir mévente ».
Le président de la commission partenariat et financement de l’interprofession cajou du Sénégal opte pour une harmonisation des prix, mais plaide surtout pour la création de coopérative des producteurs.
« Ils doivent s’organiser en coopérative. Mais la vente individuelle d’une tonne de noix de cajou par producteur casse le prix au point que, s’ils avaient regroupé en 50 tonnes, vendre en gros en collectif, ils pourraient avoir un prix plus intéressant », soutient-il.