Des discours beaucoup plus féminins, c’est ce que demandent les organisations féminines, en cette période de campagne électorale. « Pour le moment, on n’a pas assez entendu les candidats se prononcer sur cette question à part Mme Amsatou Sow Sidibé et Diouma dieng Diakhaté. C’est comme si les autres candidats ne s’intéressent pas au sujet des femmes », a regretté la secrétaire exécutive de la fédération africaine des associations féminines, Oumou Kaltoum.
Une situation due au contexte actuel, car « jusqu’à présent il y a deux camps qui s’opposent et c’est ce qui fait qu’on n’a pas eu donc connaissance des programmes », s’explique Oumou Kaltoum. Une idée partagée par la présidente du réseau Siggil jigeen qui pense également que les femmes sont laissées en rade dans les programmes des candidats.
« Nous nous avons des problèmes économiques, des problèmes de santé, des problèmes de terre. Des problèmes récurrents qu’on essaie à chaque fois de voir comment les régler. Mais je crois que tous les candidats qui sont déjà entendus parlent de façon globale, mais ne tiennent pas compte des problèmes assez spécifiques », a déploré sur les ondes de la RFM, Maguette Sy qui souligne que la sécurité, la santé et la paix doivent être prises en charge.
Toutefois, avant la clôture de la campagne, ces organisations féminines gardent espoir que les discours des candidats seront orientés vers les préoccupations féminines. Néanmoins, les candidats membres du M23, dans le cadre de leur combat contre la candidature de Wade à un troisième mandat, ont cessé de battre campagne ce jeudi et ne comptent reprendre que le 16 février prochain.
Une situation due au contexte actuel, car « jusqu’à présent il y a deux camps qui s’opposent et c’est ce qui fait qu’on n’a pas eu donc connaissance des programmes », s’explique Oumou Kaltoum. Une idée partagée par la présidente du réseau Siggil jigeen qui pense également que les femmes sont laissées en rade dans les programmes des candidats.
« Nous nous avons des problèmes économiques, des problèmes de santé, des problèmes de terre. Des problèmes récurrents qu’on essaie à chaque fois de voir comment les régler. Mais je crois que tous les candidats qui sont déjà entendus parlent de façon globale, mais ne tiennent pas compte des problèmes assez spécifiques », a déploré sur les ondes de la RFM, Maguette Sy qui souligne que la sécurité, la santé et la paix doivent être prises en charge.
Toutefois, avant la clôture de la campagne, ces organisations féminines gardent espoir que les discours des candidats seront orientés vers les préoccupations féminines. Néanmoins, les candidats membres du M23, dans le cadre de leur combat contre la candidature de Wade à un troisième mandat, ont cessé de battre campagne ce jeudi et ne comptent reprendre que le 16 février prochain.
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