Pour son 15e jour de campagne électorale, Amadou Ba, tête de liste nationale de la coalition "Jamm ak Njarin", a privilégié un travail de terrain en menant des visites de proximité dans les villages touchés par la crue du fleuve. À Nianga Edy (nord), il a déploré l'interruption des travaux de construction du pont et a appelé le gouvernement à achever ce projet afin de permettre aux populations riveraines de circuler librement et de vaquer à leurs occupations.
« Nous sommes venus à Nianga Edy dans le cadre de la campagne de proximité. Parce qu’au-delà des meetings, au-delà des caravanes, il faut un travail de terrain. Nous constatons ici deux à trois choses : la première chose, c'est le pont, les travaux sont à l'arrêt et à Nianga Edy, c'est seule route nationale et c'est enclavé, on a dû laisser les voitures et marcher à pied pour pouvoir aller dans le village parce que de l'autre côté y a l’eau », a dit Amadou Ba, tête de liste nationale de la coalition "Jamm ak Njarin".
« Nous invitons à nouveau le gouvernement de s'occuper des questions liées aux inondations à poursuivre les travaux du pont et à descendre sur le terrain voir les préoccupations des populations. Tout n'a pas été fait et tout ne sera jamais fait, mais il y a un minimum qu'on peut apporter », a exhorté l’ancien Premier ministre.
« Nous sommes venus à Nianga Edy dans le cadre de la campagne de proximité. Parce qu’au-delà des meetings, au-delà des caravanes, il faut un travail de terrain. Nous constatons ici deux à trois choses : la première chose, c'est le pont, les travaux sont à l'arrêt et à Nianga Edy, c'est seule route nationale et c'est enclavé, on a dû laisser les voitures et marcher à pied pour pouvoir aller dans le village parce que de l'autre côté y a l’eau », a dit Amadou Ba, tête de liste nationale de la coalition "Jamm ak Njarin".
« Nous invitons à nouveau le gouvernement de s'occuper des questions liées aux inondations à poursuivre les travaux du pont et à descendre sur le terrain voir les préoccupations des populations. Tout n'a pas été fait et tout ne sera jamais fait, mais il y a un minimum qu'on peut apporter », a exhorté l’ancien Premier ministre.