« En cette période électorale cruciale, la maturité politique s'impose à tous : respectons le droit de chacun et préservons le climat de paix et de sérénité dont notre pays a besoin pour son envol », a lancé la Commission Nationale des Droits de l'Homme du Sénégal (CNDHS) dans un communiqué de presse, ce lundi 28 octobre pour exprimer sa profonde préoccupation suite aux actes de violences perpétraient, en ce premier jour de campagne électorale pour les législatives du 17 novembre prochain.
La CNDHS, qui dénonce des actes qui vont à l'encontre des valeurs de tolérance et de respect inhérentes à la démocratie, appelle l'ensemble des candidats et des leaders politiques à faire preuve de responsabilité, de lucidité et de sérénité en veillant à un déroulement apaisé de la campagne dans un esprit de paix et de respect mutuel.
Et de rappeler que chaque candidat, dans sa circonscription, bénéficie du droit inaliénable de mener campagne librement sur l'ensemble du territoire qui lui est assigné. « Aucune « zone interdite » ne saurait exister en démocratie », a indiqué la CNDHS.
Pour rappel, le siège de Taxawu Sénégal, dont le leader est Khalifa Sall, a été saccagé hier aux alentours de 4 heures du matin.
De son côté Pastef dénonce une attaque de son convoi qui « a fait de nombreux blessés, parmi lesquels sept (07) qui ont dû recevoir des soins urgents prodigués par notre équipe médicale ».
La CNDHS, qui dénonce des actes qui vont à l'encontre des valeurs de tolérance et de respect inhérentes à la démocratie, appelle l'ensemble des candidats et des leaders politiques à faire preuve de responsabilité, de lucidité et de sérénité en veillant à un déroulement apaisé de la campagne dans un esprit de paix et de respect mutuel.
Et de rappeler que chaque candidat, dans sa circonscription, bénéficie du droit inaliénable de mener campagne librement sur l'ensemble du territoire qui lui est assigné. « Aucune « zone interdite » ne saurait exister en démocratie », a indiqué la CNDHS.
Pour rappel, le siège de Taxawu Sénégal, dont le leader est Khalifa Sall, a été saccagé hier aux alentours de 4 heures du matin.
De son côté Pastef dénonce une attaque de son convoi qui « a fait de nombreux blessés, parmi lesquels sept (07) qui ont dû recevoir des soins urgents prodigués par notre équipe médicale ».