Le Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) a déclaré que le système sénégalais d’orientation est très nébuleux. Selon le syndicat, il semblerait que ce soit un Mauritanien qui, depuis la France oriente nos bacheliers.
« Il semblerait que ce soit un Mauritanien qui, depuis la France oriente nos bacheliers. Quelle honte ! Il avait été convenu avec le ministre un audit et une refonte de la plateforme. Depuis des années, c’est aussi le dilatoire. C’est à croire que le ministère ne s’intéresse à la plateforme que lorsqu’il s’agit d’orienter les bacheliers », fulmine Malick Fall, secrétaire général du SAES.
Selon M. Fall, les enjeux de l’enseignement bimodal ne sont pas bien cernés par le ministère. « Les enjeux de l’enseignement bimodal ne sont pas bien cernés par le ministère. Il n’y a aucune vision ni une anticipation sur les questions qui seront posées. À la place, nous constatons un pilotage à vue avec des annonces très médiatisées. Nous regrettons une trop grande immixtion du Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) dans l’autonomie des universités. Ce qui est inacceptable », martèle le SG du SAES.
« Il semblerait que ce soit un Mauritanien qui, depuis la France oriente nos bacheliers. Quelle honte ! Il avait été convenu avec le ministre un audit et une refonte de la plateforme. Depuis des années, c’est aussi le dilatoire. C’est à croire que le ministère ne s’intéresse à la plateforme que lorsqu’il s’agit d’orienter les bacheliers », fulmine Malick Fall, secrétaire général du SAES.
Selon M. Fall, les enjeux de l’enseignement bimodal ne sont pas bien cernés par le ministère. « Les enjeux de l’enseignement bimodal ne sont pas bien cernés par le ministère. Il n’y a aucune vision ni une anticipation sur les questions qui seront posées. À la place, nous constatons un pilotage à vue avec des annonces très médiatisées. Nous regrettons une trop grande immixtion du Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) dans l’autonomie des universités. Ce qui est inacceptable », martèle le SG du SAES.