Au cas où c’est l’Algérie qui l’emporte, elle mettra fin à l’invincibilité de l’Egypte en phase finale depuis la CAN 2006. La dernière défaite des Pharaons remonte à 2004, face à l’Algérie (1-2). Si c’est l’Egypte, elle sera mise en orbite pour tenter de remporter sa 7e CAN au soir du 31 janvier à Luanda, contre le vainqueur entre le Nigeria et la Zambie, l’autre demi-finale. Arrivés à Lobito près de Benguela le 26 janvier, deux jours avant le choc qui les opposera à l’Egypte, les Fennecs ont affiché une sérénité sans faille.
Sur la lancée de leur victoire face aux Eléphants en quart-de-finale
«On va essayer de confirmer notre bon match face à la Côte d’Ivoire». Parole du capitaine des Fennecs, Yazid Mansouri, pour qui le contexte de cette demi-finale de la CAN est différent de celui des deux derniers matchs entre l’Algérie et l’Egypte en 2009 : «l’environnement, le climat, tout est différent. Là on a un objectif bien précis. Il y a une finale au bout. L’enjeu est donc différent. On ne va pas se mettre de pression supplémentaire. On va bien préparer le match». Lorsqu’un journaliste algérien lui demande si la pression n’est pas sur l’Egypte, Yazid Mansouri rétorque que les Fennecs n’ont pas à se préoccuper de l’adversaire. «Il faut se préoccuper de nous, c’est le plus important.»
Peu cités comme favoris au début de la CAN angolaise, les Algériens comptent jouer la finale. Pourquoi ne pas remporter le 2ème trophée continental de leur histoire après 20 ans ? Mais pour cela, il faudra d’abord passer l’obstacle pharaonique égyptien. «On va s’en donner les moyens, on s’est bien préparé jusqu’à présent, on va aborder ce match très sérieusement parce que l’Egypte reste une grande équipe et c’est le tenant du titre», dit le défenseur Anthar Yahia.
Dédramatiser le derby maghrébin habituellement tendu
Alors que les deux derniers matchs qui ont opposé les Egyptiens aux Algériens ont été émaillés d’incidents et ont réveillé un nationalisme exacerbé, le sélectionneur des Fennecs, Rabah Saadane, appelle à remettre au premier plan la fête du football. «Il faut faire une belle demi-finale, du beau jeu, pour honorer le football africain. Je pense que c’est un match de football uniquement. Nous sommes en plus en Angola, sur un terrain neutre. Il est de la responsabilité de tous les dirigeants, égyptiens comme algériens, d’aller dans le bon sens et dans la sagesse.»
Malgré ces paroles apaisantes, le Cocan et la CAF ont préféré éviter toute proximité des deux équipes en attendant cette demi-finale, afin de prévenir toute provocation. Environ 35 km séparent l’hôtel des Pharaons de celui des Fennecs.
Sur la lancée de leur victoire face aux Eléphants en quart-de-finale
«On va essayer de confirmer notre bon match face à la Côte d’Ivoire». Parole du capitaine des Fennecs, Yazid Mansouri, pour qui le contexte de cette demi-finale de la CAN est différent de celui des deux derniers matchs entre l’Algérie et l’Egypte en 2009 : «l’environnement, le climat, tout est différent. Là on a un objectif bien précis. Il y a une finale au bout. L’enjeu est donc différent. On ne va pas se mettre de pression supplémentaire. On va bien préparer le match». Lorsqu’un journaliste algérien lui demande si la pression n’est pas sur l’Egypte, Yazid Mansouri rétorque que les Fennecs n’ont pas à se préoccuper de l’adversaire. «Il faut se préoccuper de nous, c’est le plus important.»
Peu cités comme favoris au début de la CAN angolaise, les Algériens comptent jouer la finale. Pourquoi ne pas remporter le 2ème trophée continental de leur histoire après 20 ans ? Mais pour cela, il faudra d’abord passer l’obstacle pharaonique égyptien. «On va s’en donner les moyens, on s’est bien préparé jusqu’à présent, on va aborder ce match très sérieusement parce que l’Egypte reste une grande équipe et c’est le tenant du titre», dit le défenseur Anthar Yahia.
Dédramatiser le derby maghrébin habituellement tendu
Alors que les deux derniers matchs qui ont opposé les Egyptiens aux Algériens ont été émaillés d’incidents et ont réveillé un nationalisme exacerbé, le sélectionneur des Fennecs, Rabah Saadane, appelle à remettre au premier plan la fête du football. «Il faut faire une belle demi-finale, du beau jeu, pour honorer le football africain. Je pense que c’est un match de football uniquement. Nous sommes en plus en Angola, sur un terrain neutre. Il est de la responsabilité de tous les dirigeants, égyptiens comme algériens, d’aller dans le bon sens et dans la sagesse.»
Malgré ces paroles apaisantes, le Cocan et la CAF ont préféré éviter toute proximité des deux équipes en attendant cette demi-finale, afin de prévenir toute provocation. Environ 35 km séparent l’hôtel des Pharaons de celui des Fennecs.
Autres articles
-
Boxe: Usyk bat encore Fury et conserve ses ceintures mondiales des lourds
-
Éliminatoires CHAN 2025 : le Sénégal affronte le Libéria ce dimanche à Monrovia
-
Ligue 1 : Wally Daan déroule, Sonacos accroche AJEL, Jamono se relance face au Casa
-
Liga : l’Atlético de Madrid renverse le Barça et prend seul la tête du championnat
-
CAN 2025 au Maroc : le coup d'envoi prévu pour le 21 décembre 2025