Plus le début de l’édition 2022 de la Coupe d’Afrique des nations s’approche, plus le flou sur sa tenue et les conditions du déroulement de la compétition s’épaississent. À quatre semaines du début de la compétition, le 9 janvier prochain, le Cameroun pourrait ne pas être prêt à temps et contraint de laisser la main.
C’est en tout cas ce qu’a déclaré Abdel Moneim Hussein, ancien joueur et membre de la Confédération africaine de football, à la chaîne égyptienne Al-Hayah TV. La délégation qui s’est rendue au Cameroun a constaté que le comité d’organisation camerounais manquait de temps pour être prêt le jour J. La FIFA a même ouvert un bureau sur place pour tenter de résoudre les problèmes, a expliqué celui que l’on surnomme « Shatta ». Vers une annulation ou une délocalisation ? Malgré le report d’un an de la compétition, le Cameroun ne serait pas en mesure d’assurer le bon déroulement de l’événement. Cela serait dû en grande partie à l’augmentation du nombre d’équipes participant au tournoi. Lorsque le Cameroun a obtenu l’organisation de la Can pour 2022, le nombre de participants à la phase finale était de 16 et non de 24, souligne Abdel Moneim Hussein. Un surplus de travail que le pays hôte n’arriverait pour l’instant pas à gérer.
À l’heure actuelle, le stade Olembe censé accueillir l’ouverture de la compétition n’est toujours pas prêt, les travaux ayant pris du retard. Face à cette situation, la possibilité d’une annulation de la Can 2022 grandit. L’apparition du variant Omicron renforce les incertitudes sur la tenue de la compétition.
L’autre solution serait la délocalisation de l’évènement. Le Qatar, qui accueille actuellement la Coupe Arabe, serait le plus en mesure de récupérer la compétition. « Shatta » estime que cela peut arriver : Tout est possible. La CAF est sous l’égide de la FIFA et seule la FIFA peut approuver la délocalisation d’un tournoi en dehors de son continent ».
C’est en tout cas ce qu’a déclaré Abdel Moneim Hussein, ancien joueur et membre de la Confédération africaine de football, à la chaîne égyptienne Al-Hayah TV. La délégation qui s’est rendue au Cameroun a constaté que le comité d’organisation camerounais manquait de temps pour être prêt le jour J. La FIFA a même ouvert un bureau sur place pour tenter de résoudre les problèmes, a expliqué celui que l’on surnomme « Shatta ». Vers une annulation ou une délocalisation ? Malgré le report d’un an de la compétition, le Cameroun ne serait pas en mesure d’assurer le bon déroulement de l’événement. Cela serait dû en grande partie à l’augmentation du nombre d’équipes participant au tournoi. Lorsque le Cameroun a obtenu l’organisation de la Can pour 2022, le nombre de participants à la phase finale était de 16 et non de 24, souligne Abdel Moneim Hussein. Un surplus de travail que le pays hôte n’arriverait pour l’instant pas à gérer.
À l’heure actuelle, le stade Olembe censé accueillir l’ouverture de la compétition n’est toujours pas prêt, les travaux ayant pris du retard. Face à cette situation, la possibilité d’une annulation de la Can 2022 grandit. L’apparition du variant Omicron renforce les incertitudes sur la tenue de la compétition.
L’autre solution serait la délocalisation de l’évènement. Le Qatar, qui accueille actuellement la Coupe Arabe, serait le plus en mesure de récupérer la compétition. « Shatta » estime que cela peut arriver : Tout est possible. La CAF est sous l’égide de la FIFA et seule la FIFA peut approuver la délocalisation d’un tournoi en dehors de son continent ».