L’Egypte reste sur une terrible frustration, son élimination par l’Algérie de la prochaine Coupe du monde. Et chacun s’interroge sur sa capacité à surmonter cet échec qui aurait constitué un formidable aboutissement pour une génération d’alertes trentenaires, les El Hadary, Goma’a, Ahmed Hassan, Aboutreika ou El Sakka arrivés en bout de course. C’est une des grandes énigmes de la 27e Coupe d’Afrique des nations Orange, renforcée par l’absence d’Aboutreika, d’Amr Zaki ou de Mido.On ose penser que l’Egypte, détentrice de tous les recors de la CAN cherchera à en ajouter un nouveau, devenir la première équipe à gagner trois fois de suite la compétition. Ces derniers résultats lors de matches amicaux, nul contre le Malawi au Caire, court succès face au Mali à Dubaï n’ont pas totalement convaincu. Mais il faut se souvenir qu’à Ghana 2008, le parcours des Pharaons, dans les éliminatoires, n’avaient pas permis d’inclure l’équipe dans le lot des premiers favoris.
Le Nigeria de Shuaibu Amodu est passé très prêt du couperet qui l’aurait privé d’une seconde participation à une Coupe du monde. Après avoir longtemps fait la course derrière la Tunisie, les Super Eagles se sont imposés in extremis lors de l’avant-dernière journée éliminatoire à la fin de leur match contre le Mozambique, une formation qui allait ensuite anéantir le rêve tunisien à Maputo. Les joueurs de l’équipe nigériane joueront pour une place de titulaire au mois de juin en Afrique du Sud. Quant à l’entraîneur Amodu Shuaibu, il joue tout simplement sa tête. S’il ne conduit pas son équipe au moins en demi-finale, son mandat sera arrêté net.
De part et d’autre les enjeux sont énormes ente deux des ténors du football africain habitués aux honneurs. L’issue de la rencontre se jouera aussi bien dans les têtes que dans les jambes.
source: Cafonline
Le Nigeria de Shuaibu Amodu est passé très prêt du couperet qui l’aurait privé d’une seconde participation à une Coupe du monde. Après avoir longtemps fait la course derrière la Tunisie, les Super Eagles se sont imposés in extremis lors de l’avant-dernière journée éliminatoire à la fin de leur match contre le Mozambique, une formation qui allait ensuite anéantir le rêve tunisien à Maputo. Les joueurs de l’équipe nigériane joueront pour une place de titulaire au mois de juin en Afrique du Sud. Quant à l’entraîneur Amodu Shuaibu, il joue tout simplement sa tête. S’il ne conduit pas son équipe au moins en demi-finale, son mandat sera arrêté net.
De part et d’autre les enjeux sont énormes ente deux des ténors du football africain habitués aux honneurs. L’issue de la rencontre se jouera aussi bien dans les têtes que dans les jambes.
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