Terrorisés, en pleurs, les joueurs togolais ne veulent plus rien de la CAN après l'attentat dont a été victime leur bus. Une fusillade qui a coûté la vie à deux membres de la délégation (Photo: Reuters)
Cette nouvelle revendication émane du principal mouvement séparatiste de ce territoire angolais, le Front de libération de l'Etat du Cabinda-Forces armées cabindaises (Flec-FAC).
"Nous ne sommes pas des terroristes, l'attaque n'était pas dirigée contre nos frères togolais... A chaque fois que les Forces armées cabindaises voient un convoi angolais, elles tirent toujours", a assuré Jean-Claude N'Zita, conseiller du président du Flec-FAC s'exprimant depuis la Suisse où il vit en exil.
L'attaque, qui a fait au moins deux morts vendredi, avait immédiatement été revendiquée par les Forces de libération de l'Etat du Cabinda-Position militaire (Flec-PM), une faction dissidente du Flec-FAC.
"Ca n'engage que lui. Ce sont des opportunistes", a rétorqué M. N'Zita.
"Nous ne sommes pas des terroristes, l'attaque n'était pas dirigée contre nos frères togolais... A chaque fois que les Forces armées cabindaises voient un convoi angolais, elles tirent toujours", a assuré Jean-Claude N'Zita, conseiller du président du Flec-FAC s'exprimant depuis la Suisse où il vit en exil.
L'attaque, qui a fait au moins deux morts vendredi, avait immédiatement été revendiquée par les Forces de libération de l'Etat du Cabinda-Position militaire (Flec-PM), une faction dissidente du Flec-FAC.
"Ca n'engage que lui. Ce sont des opportunistes", a rétorqué M. N'Zita.