El Hadji Malick Gackou est définitivement éliminé de la course à la présidentielle du 24 février prochain. L’invalidation de sa candidature était prévisible parce que calculée et prévue depuis plusieurs mois. Le candidat de la «Coalition de l’Espoir» fait partie de la liste des candidats à la candidature qui allaient subir les contrecoups de l’opération Augias du pouvoir.
En effet, les plans du pouvoir marchent comme sur des roulettes. Il n’y aura pas plus de cinq ou six candidats à l’élection présidentielle du 24 février 2019. Ils sont Macky Sall, Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Issa Sall et Me Madické Niang et éventuellement Khalifa Ababacar Sall. Seulement il y a, encore des probabilités concernant la candidature de Khalifa Ababacar Sall. Son maintien de la course dépend des facteurs qui sont actuellement à l’étude. Son éviction est quasi certaine, alors que Karim Wade sera écarté sans nul doute. Cet objectif est décliné depuis des mois et des instructions données et exécutées dans ce sens.
Dans cette élimination, il y a, par ailleurs un parfum de deal. La candidature de Malick Gackou était incertaine depuis belle lurette. Il est dans des connexions patibulaires. Le président de Grand Parti fait partie des leaders de l’opposition qui rencontrent beaucoup des émissaires et proches du président de la République. Sa non participation à la présidentielle de février 2019 et son alliance avec Macky Sall seraient discutées comme le dossier de la mairie de Guédiawaye.
De plus, la réaction de El Hadji Malick Gackou à sa sortie du Conseil constitutionnel a été très éloquente et riche en enseignements. Il affiche une mine défaitiste et accuse stoïquement le coup alors qu’il a été toujours l’un des candidats les plus hostiles et virulents vis à vis du pouvoir. Parmi les trois candidats à la candidature qui devaient apporter des compléments de dossier, il était le seul à faire le déplacement. Une analyse sémiotique de son discours laisse penser qu’il s’attendait à l’invalidation de sa candidature.
En outre, cette décision du Conseil constitutionnel pourrait être considérée comme une aubaine pour le Grand parti qui connu une grosse saignée en termes de militants et de responsables, mais surtout qui a une santé financière très chancelante. Malick Gackou fait partie aujourd’hui des candidats qui, même s'ils ont payé la caution de 30 millions, vont éprouver d’énormes difficultés pour prendre en charge financièrement une campagne électorale avec tout ce que cela implique comme ressources.
En effet, les plans du pouvoir marchent comme sur des roulettes. Il n’y aura pas plus de cinq ou six candidats à l’élection présidentielle du 24 février 2019. Ils sont Macky Sall, Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Issa Sall et Me Madické Niang et éventuellement Khalifa Ababacar Sall. Seulement il y a, encore des probabilités concernant la candidature de Khalifa Ababacar Sall. Son maintien de la course dépend des facteurs qui sont actuellement à l’étude. Son éviction est quasi certaine, alors que Karim Wade sera écarté sans nul doute. Cet objectif est décliné depuis des mois et des instructions données et exécutées dans ce sens.
Dans cette élimination, il y a, par ailleurs un parfum de deal. La candidature de Malick Gackou était incertaine depuis belle lurette. Il est dans des connexions patibulaires. Le président de Grand Parti fait partie des leaders de l’opposition qui rencontrent beaucoup des émissaires et proches du président de la République. Sa non participation à la présidentielle de février 2019 et son alliance avec Macky Sall seraient discutées comme le dossier de la mairie de Guédiawaye.
De plus, la réaction de El Hadji Malick Gackou à sa sortie du Conseil constitutionnel a été très éloquente et riche en enseignements. Il affiche une mine défaitiste et accuse stoïquement le coup alors qu’il a été toujours l’un des candidats les plus hostiles et virulents vis à vis du pouvoir. Parmi les trois candidats à la candidature qui devaient apporter des compléments de dossier, il était le seul à faire le déplacement. Une analyse sémiotique de son discours laisse penser qu’il s’attendait à l’invalidation de sa candidature.
En outre, cette décision du Conseil constitutionnel pourrait être considérée comme une aubaine pour le Grand parti qui connu une grosse saignée en termes de militants et de responsables, mais surtout qui a une santé financière très chancelante. Malick Gackou fait partie aujourd’hui des candidats qui, même s'ils ont payé la caution de 30 millions, vont éprouver d’énormes difficultés pour prendre en charge financièrement une campagne électorale avec tout ce que cela implique comme ressources.