Le sentiment le mieux partagé aujourd’hui au Sénégal est que le Conseil constitutionnel doit se réformer afin de mieux épouser le processus de démocratisation et les exigences d’un Etat de droit moderne. Les cinq sages et leurs invités en sont conscients et ont mis sur la table les questions de l’exception d’inconstitutionnalité, l’extension de son domaine de compétences, une reconsidération plus large et flexible de ses compétences d’attribution afin de conférer davantage de pouvoirs d’interprétation au juge constitutionnel, une plus grande autonomie du statut de ce dernier…
Article en rédaction
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