Cette atmosphère délétère entre les leaders de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) et le Parti Socialiste (PS) a fini par gangréner Bennoo Siggil Senegaal. En effet, dès le départ une bipolarisation s’est dessinée. Certains leaders ont penché pour Moustapha Niasse alors que d’autres se sont rapprochés d’Ousmane Tanor Dieng. Ceux qui ne se sentaient nullement dans ces deux camps comme Macky Sall, Landing Savané, Cheikh Bamba Dièye et autres ont vite fait d’afficher leur position.
Cette situation devrait épargner aux membres du comité de facilitation à ne pas se fatiguer dans leur tentative de rapprochement. D’aucuns ont même pensé que ce n’était qu’une comédie. Dans la mesure où tout au long du processus, Moustapha Niasse savait déjà qu’il allait être choisi. Tout au long du processus de facilitation, Moustapha Niasse ne pipe mot. Il est dans son coin attendant le verdict de Bennoo. Il avait déjà réussi à faire rallier une bonne partie des formations politiques membres de Bennoo Siggil Senegaal et les personnalités des assises à sa cause. Le chef de file des progressistes a juste conforté le noyau de partis (PIT, RND, MSU, UPAS…) qui l’ont accompagnés à la présidentielle de 2007. Il a pu facilement étendre ses tentacules grâce à une grande expérience politique mais surtout à une contribution active. Son poids financier a aussi pesé sur la balance. Moustapha Niasse n’est pas donné de la peine à faire le vide autour d’Ousmane Tanor Dieng. Des personnalités des assises nationales ont été ses sergents recruteurs.
Le secrétaire général du Parti Socialiste avait ainsi tout compris depuis le début. En effet, il savait qu’il n’avait aucune chance devant son challenger qui avait fini de miner le terrain de Bennoo. Le leader des socialistes sénégalais a pris les devants en se faisant investir par le comité central de son parti. Il occupe le terrain politique et bat campagne. Au même moment, les cadres et les jeunes de son parti montent au créneau. Des comités de soutien sont aussi actionnés pour accréditer la candidature d’Ousmane Tanor Dieng.
Cette situation devrait épargner aux membres du comité de facilitation à ne pas se fatiguer dans leur tentative de rapprochement. D’aucuns ont même pensé que ce n’était qu’une comédie. Dans la mesure où tout au long du processus, Moustapha Niasse savait déjà qu’il allait être choisi. Tout au long du processus de facilitation, Moustapha Niasse ne pipe mot. Il est dans son coin attendant le verdict de Bennoo. Il avait déjà réussi à faire rallier une bonne partie des formations politiques membres de Bennoo Siggil Senegaal et les personnalités des assises à sa cause. Le chef de file des progressistes a juste conforté le noyau de partis (PIT, RND, MSU, UPAS…) qui l’ont accompagnés à la présidentielle de 2007. Il a pu facilement étendre ses tentacules grâce à une grande expérience politique mais surtout à une contribution active. Son poids financier a aussi pesé sur la balance. Moustapha Niasse n’est pas donné de la peine à faire le vide autour d’Ousmane Tanor Dieng. Des personnalités des assises nationales ont été ses sergents recruteurs.
Le secrétaire général du Parti Socialiste avait ainsi tout compris depuis le début. En effet, il savait qu’il n’avait aucune chance devant son challenger qui avait fini de miner le terrain de Bennoo. Le leader des socialistes sénégalais a pris les devants en se faisant investir par le comité central de son parti. Il occupe le terrain politique et bat campagne. Au même moment, les cadres et les jeunes de son parti montent au créneau. Des comités de soutien sont aussi actionnés pour accréditer la candidature d’Ousmane Tanor Dieng.