L’Alliance pour la République (APR) n’a pas tardé à dévoiler sa position sur l’arrestation de Bah Diakhaté. Arrêté pour « diffusion de fausses nouvelles », « injures » et « offense à une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du président de la République », Bah Diakhaté a été placé en garde-à-vue et déféré ce mercredi au parquet par le procureur, qui s’était autosaisi.
Selon l’APR, le mis en cause, activiste républicain, « réputé pour ses analyses documentées et fouillées, est dans les liens de la détention, pour des motifs aussi fallacieux que farfelus ».
Il ajoute : « Pour ce que nous en savons, l’activiste est revenu au cours d’un live, sur les propos du leader de Pastef, relatifs à la criminalisation de l’homosexualité et le reniement de ce dernier lors d’une conférence conjointe avec le leader de la France insoumise (Jean-Luc Mélenchon)… De notre point de vue, aucun de ces faits ainsi évoqués et prouvés n’est consultatif ni d’injures publiques, ni d’offense encore moins de diffusion de fausses nouvelles ».
Le parti de l’ancien président de la République, Macky Sall, dit « dénoncer avec la dernière énergie cette arrestation arbitraire et exprime sa vive préoccupation au regard des dérives liberticides des nouvelles autorités ». Indexant le Pastef sur son mode de présence politique basé sur « la violence, la haine, la manipulation, l’insulte, l’outrage et les agressions contre les Institutions de la République », l’APR considère qu’avec seulement moins de deux mois de gestion du pays par le Pastef, « la paix civile est menacée, nos libertés sont agressées et la dictature est en gestation ».
Prônant un « avenir du Sénégal attaché à la liberté, notamment la liberté d’expression », l’ancien parti au régime entre 2012 et 2024 soutient « qu’accepter que Bah Diakhaté soit dans les liens de la détention, c’est abdiquer : c’est ouvrir la voie à l’arbitraire et à toutes les forfaitures ».
Appelant leurs militants à la mobilisation, l’APR exhorte à « engager le combat pour la libération immédiate et sans condition de Bah Diakhaté et pour barrer la route aux fossoyeurs des libertés et de la démocratie ».
Selon l’APR, le mis en cause, activiste républicain, « réputé pour ses analyses documentées et fouillées, est dans les liens de la détention, pour des motifs aussi fallacieux que farfelus ».
Il ajoute : « Pour ce que nous en savons, l’activiste est revenu au cours d’un live, sur les propos du leader de Pastef, relatifs à la criminalisation de l’homosexualité et le reniement de ce dernier lors d’une conférence conjointe avec le leader de la France insoumise (Jean-Luc Mélenchon)… De notre point de vue, aucun de ces faits ainsi évoqués et prouvés n’est consultatif ni d’injures publiques, ni d’offense encore moins de diffusion de fausses nouvelles ».
Le parti de l’ancien président de la République, Macky Sall, dit « dénoncer avec la dernière énergie cette arrestation arbitraire et exprime sa vive préoccupation au regard des dérives liberticides des nouvelles autorités ». Indexant le Pastef sur son mode de présence politique basé sur « la violence, la haine, la manipulation, l’insulte, l’outrage et les agressions contre les Institutions de la République », l’APR considère qu’avec seulement moins de deux mois de gestion du pays par le Pastef, « la paix civile est menacée, nos libertés sont agressées et la dictature est en gestation ».
Prônant un « avenir du Sénégal attaché à la liberté, notamment la liberté d’expression », l’ancien parti au régime entre 2012 et 2024 soutient « qu’accepter que Bah Diakhaté soit dans les liens de la détention, c’est abdiquer : c’est ouvrir la voie à l’arbitraire et à toutes les forfaitures ».
Appelant leurs militants à la mobilisation, l’APR exhorte à « engager le combat pour la libération immédiate et sans condition de Bah Diakhaté et pour barrer la route aux fossoyeurs des libertés et de la démocratie ».