Le bilan macabre continue dans les rangs des militaires basés en Casamance. Selon la radio sud fm (privée), l’armée a perdu 3 hommes ce jeudi à Magnora. Ils auraient été tués au cours d’une résistance qu’une bande armée lui a opposée dans le village de Magnora.
Selon notre confrère qui donne l’information l’armée ne confirme pas ces pertes annoncées par une source anonyme mais parle, plutôt, de deux blessés.
A l’origne, ce sont des éléments lourdement armés supposés appartenir au MFDC qui ont braqué, tôt, ce jeudi 3 véhicules dont 2 de transport en commun des voyageurs.
Ils ont surgi à hauteur du village de Mangnora, dans le département de Bounkiling, sur l’axe Madina Wandifa-Bignona.
Les occupants des véhicules ont été dépossédés de tous leurs biens et dans leur retraite en direction de la frontière avec la Gambie, les assaillants ont emporté un car et un Taxi-brousse, appelé communément 7 Places contenant le butin.
Au cours de cette opération, les assaillants ont saboté des installations électriques provoquant un délestage monstre du courant.
Ils auraient même pris possession du poste de supervision de l’armée à Magnora. Cette attaque intervient 48 heures après celle perpétrée à Mampalago, toujours sur la route nationale.
Selon notre confrère qui donne l’information l’armée ne confirme pas ces pertes annoncées par une source anonyme mais parle, plutôt, de deux blessés.
A l’origne, ce sont des éléments lourdement armés supposés appartenir au MFDC qui ont braqué, tôt, ce jeudi 3 véhicules dont 2 de transport en commun des voyageurs.
Ils ont surgi à hauteur du village de Mangnora, dans le département de Bounkiling, sur l’axe Madina Wandifa-Bignona.
Les occupants des véhicules ont été dépossédés de tous leurs biens et dans leur retraite en direction de la frontière avec la Gambie, les assaillants ont emporté un car et un Taxi-brousse, appelé communément 7 Places contenant le butin.
Au cours de cette opération, les assaillants ont saboté des installations électriques provoquant un délestage monstre du courant.
Ils auraient même pris possession du poste de supervision de l’armée à Magnora. Cette attaque intervient 48 heures après celle perpétrée à Mampalago, toujours sur la route nationale.