Le Curé de la paroisse Saint Théophile de Kaolack appelle à la dénonciation de ceux qui entravent la paix en Casamance.
«Il faudrait que toutes les personnes qui compromettent la paix soient dénoncées et que nous puissions cheminer dans l’avenir dans une sorte d’osmose spirituelle que nous accédions à cette paix», a exhorté Abbé Pierre Dione, en marge de la fête de sa paroisse qui a prié pour la paix dans cette partie méridionale du pays, en proie à une rébellion depuis 1982.
Il a, aussi, supplié de tenir un langage de vérité dans ce règlement de la situation.
«Que les hommes soient beaucoup plus vrais et francs», a indiqué le prélat. «Si, depuis que la crise dure et perdure, les gens avaient parlé à la table de négociations un langage de vérité et n’aimaient plus s’intéresser à la donne de l’indépendance ou d’autres choses mais de considérer d’abord que l’être humain est créé à l’image de Dieu et qu’il mérite le respect, quelle que soit son appartenance religieuse, sociale ou culturelle, je crois que c’est un non sens et une absurdité que de s’attaquer à des personnes innocentes, qui n’ont même rien à voir avec la problématique de l’indépendance ou autres (…).
A l’en croire, la solution ne sera pas certainement une solution militaire. «Ce n’est pas par la violence que nous arriverons à la paix. Mais, c’est simplement, par des négociations et par la prière. Que les musulmans, les chrétiens prient pour que Dieu qui est le seul à pouvoir donner la paix nous la donne mais que nous aussi, nous soyions dans des dispositions de la recevoir», a recommandé le prêtre. Partant de l’évangile, il rappelle que «ceux qui usent de l’épée, périront par l’épée».
«Il faudrait que toutes les personnes qui compromettent la paix soient dénoncées et que nous puissions cheminer dans l’avenir dans une sorte d’osmose spirituelle que nous accédions à cette paix», a exhorté Abbé Pierre Dione, en marge de la fête de sa paroisse qui a prié pour la paix dans cette partie méridionale du pays, en proie à une rébellion depuis 1982.
Il a, aussi, supplié de tenir un langage de vérité dans ce règlement de la situation.
«Que les hommes soient beaucoup plus vrais et francs», a indiqué le prélat. «Si, depuis que la crise dure et perdure, les gens avaient parlé à la table de négociations un langage de vérité et n’aimaient plus s’intéresser à la donne de l’indépendance ou d’autres choses mais de considérer d’abord que l’être humain est créé à l’image de Dieu et qu’il mérite le respect, quelle que soit son appartenance religieuse, sociale ou culturelle, je crois que c’est un non sens et une absurdité que de s’attaquer à des personnes innocentes, qui n’ont même rien à voir avec la problématique de l’indépendance ou autres (…).
A l’en croire, la solution ne sera pas certainement une solution militaire. «Ce n’est pas par la violence que nous arriverons à la paix. Mais, c’est simplement, par des négociations et par la prière. Que les musulmans, les chrétiens prient pour que Dieu qui est le seul à pouvoir donner la paix nous la donne mais que nous aussi, nous soyions dans des dispositions de la recevoir», a recommandé le prêtre. Partant de l’évangile, il rappelle que «ceux qui usent de l’épée, périront par l’épée».