Fatigués par les assauts répétitifs des bandes armées, les populations locales réclament un camp militaire à Goudomp dans les plus brefs délais.
Elles expliquent que l’insécurité «gagne» du terrain et les cantonnements militaires «sont insuffisants pour contenir» ces éléments supposés appartenir au mouvement des forces démocratiques de Casamance, qui sèment le désordre dans la région. Selon le quotidien L’Obs, qui donne l’information, «ces éléments rebelles se réfugient toujours en Guinée-Bissau après leurs forfaits».
Ces populations ont fait cette réclamation après la dernière attaque des bandes armées, survenue ce lundi à Manécounda, dans la communauté rurale de Simbandi Balante.
A noter que l’année dernière, un jeune avait été tué à Bassada, localité située à 3 km de Goudomp. L’on souligne que malgré la présence de cantonnements militaires à Goudomp, à Samine, à Bindaba 1, à Bindaba 2, à Bafada, à Singuère, les braquages sont très fréquents dans le Balantacounda.
Elles expliquent que l’insécurité «gagne» du terrain et les cantonnements militaires «sont insuffisants pour contenir» ces éléments supposés appartenir au mouvement des forces démocratiques de Casamance, qui sèment le désordre dans la région. Selon le quotidien L’Obs, qui donne l’information, «ces éléments rebelles se réfugient toujours en Guinée-Bissau après leurs forfaits».
Ces populations ont fait cette réclamation après la dernière attaque des bandes armées, survenue ce lundi à Manécounda, dans la communauté rurale de Simbandi Balante.
A noter que l’année dernière, un jeune avait été tué à Bassada, localité située à 3 km de Goudomp. L’on souligne que malgré la présence de cantonnements militaires à Goudomp, à Samine, à Bindaba 1, à Bindaba 2, à Bafada, à Singuère, les braquages sont très fréquents dans le Balantacounda.