Un phénomène qui a fini par impacter négativement dans le secteur de l’investissement. Impossible de faire des investissements sans la paix, semblent dire les investisseurs, lors des journées économiques organisées dans la capitale sud du Sénégal.
Avec les présences de plus de mille participants venus de différentes régions, des entrepreneurs, des membres des ministères de l’industrie, des mines, de l’agro-alimentaire, des PME, de l’entreprenariat féminin et de la décentralisation, le conflit a été indexé au cours de cette cérémonie comme étant un facteur de frein à l’investissement.
« Nous demeurons convaincus que l’insécurité se nourrit de la pauvreté qu’elle alimente, créant de ce fait le cycle infernal de la violence. Ce cycle de violence aveugle doit cesser. Il ne peut y avoir d’investissement, de création de richesse et d’emplois dans un climat d’insécurité », a laissé entendre au micro de la RFM, le président de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES), Mansour Cama.
Toutefois, lance M. Cama, « malgré la tristesse qui nous envahit aujourd’hui, qui nous a envahis hier et nous espérons qu’elle ne nous envahira pas demain, nous devons être debout pour bâtir cette paix ».
Avec les présences de plus de mille participants venus de différentes régions, des entrepreneurs, des membres des ministères de l’industrie, des mines, de l’agro-alimentaire, des PME, de l’entreprenariat féminin et de la décentralisation, le conflit a été indexé au cours de cette cérémonie comme étant un facteur de frein à l’investissement.
« Nous demeurons convaincus que l’insécurité se nourrit de la pauvreté qu’elle alimente, créant de ce fait le cycle infernal de la violence. Ce cycle de violence aveugle doit cesser. Il ne peut y avoir d’investissement, de création de richesse et d’emplois dans un climat d’insécurité », a laissé entendre au micro de la RFM, le président de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES), Mansour Cama.
Toutefois, lance M. Cama, « malgré la tristesse qui nous envahit aujourd’hui, qui nous a envahis hier et nous espérons qu’elle ne nous envahira pas demain, nous devons être debout pour bâtir cette paix ».