Las de subir les conséquences néfastes du décret présidentiel interdisant la coupe de bois en Casamance, les scieries, les menuiseries et autres acteurs évoluant dans la foresterie ont étalés leur mal.
Selon porte-parole Chérifou Gadjigo, "des milliers de pères de famille qui ont plus d’une cinquantaine d’années d’expériences et encadrés par le service forestier sont dans le désarroi. Et que certains ont vu leurs ménages partis en flambeaux, car leurs femmes ne pouvant plus supporter d’avoir un mari qui n’est plus en mesure de donner la dépense quotidienne". A en croire, monsieur Gadjigo les acteurs du bois de Casamance souffrent de cette interdiction de l’exploitation du bois.
Comme si cela ne suffisait pas, le journal "Les Echos" raconte que des menuisiers rencontrés sous le couvert de l’anonymat soufflent que cette interdiction favorise la culture du chanvre indien. « Nombreux sont ces jeunes qui ne savent plus à quel saint se vouer. D’ailleurs, ceux qui sont dans le milieu rural pourrait suivre l’aventure du maquis et grossir ainsi les rangs des du MFDC », s’inquiètent-ils.
Selon porte-parole Chérifou Gadjigo, "des milliers de pères de famille qui ont plus d’une cinquantaine d’années d’expériences et encadrés par le service forestier sont dans le désarroi. Et que certains ont vu leurs ménages partis en flambeaux, car leurs femmes ne pouvant plus supporter d’avoir un mari qui n’est plus en mesure de donner la dépense quotidienne". A en croire, monsieur Gadjigo les acteurs du bois de Casamance souffrent de cette interdiction de l’exploitation du bois.
Comme si cela ne suffisait pas, le journal "Les Echos" raconte que des menuisiers rencontrés sous le couvert de l’anonymat soufflent que cette interdiction favorise la culture du chanvre indien. « Nombreux sont ces jeunes qui ne savent plus à quel saint se vouer. D’ailleurs, ceux qui sont dans le milieu rural pourrait suivre l’aventure du maquis et grossir ainsi les rangs des du MFDC », s’inquiètent-ils.