Alors que la Direction générale de la météorologie alerte sur la montée de la rivière Oubangui, les autorités demandent aux populations de quitter les zones critiques. Certains habitants ont déjà commencé à quitter les quartiers riverains ou envisagent de le faire. Dans le salon de sa maison, Mathieu garde les yeux rivés sur une cartes avec les informations publiées par les météorologues.
« De plus en plus critique »
Il habite à quelques mètres de la rivière Oubangui. Et pour se protéger de la montée des eaux, Mathieu entasse des sacs de sables à l'entrée de sa concession : « Ces dix derniers jours, la situation devient de plus en plus critique. A chaque fois qu'il pleut, l'eau s'approche dangereusement de notre concession. Les briques de ma maison menacent de s'écrouler. »
Dans les quartiers riverains, comme Bruxelles, Petevo, Sao, Ile-des-singes ou encore M'poko-Bac, la saison des pluies est de plus en plus dévastatrice... Comme beaucoup, Martha est sur le point de déménager : « Mieux vaut prévenir que guérir, dit-on. Notre maison est en argile, elle ne résistera pas à la montée des eaux. C'est pourquoi il est impératif pour nous de partir dès maintenant pour éviter des dégâts matériels et des pertes en vies humaines comme dans les années précédentes. »
« Trouver une solution adéquate »
Au quartier M'poko-Bac, tout le monde est en alerte. Josué Kito est l'une des figures locales : « D'ici peu de temps, toutes les maisons seront touchées. Mon message, c'est qu'il faut nous venir en aide pour élargir le canal d'évacuation et trouver une solution adéquate pour que l'eau puisse couler normalement vers les collecteurs. »
Le gouvernement et ses partenaires préparent un plan d'urgence pour reloger les familles vulnérables sur des terrains sécurisés avant d'urbaniser le secteur.
« De plus en plus critique »
Il habite à quelques mètres de la rivière Oubangui. Et pour se protéger de la montée des eaux, Mathieu entasse des sacs de sables à l'entrée de sa concession : « Ces dix derniers jours, la situation devient de plus en plus critique. A chaque fois qu'il pleut, l'eau s'approche dangereusement de notre concession. Les briques de ma maison menacent de s'écrouler. »
Dans les quartiers riverains, comme Bruxelles, Petevo, Sao, Ile-des-singes ou encore M'poko-Bac, la saison des pluies est de plus en plus dévastatrice... Comme beaucoup, Martha est sur le point de déménager : « Mieux vaut prévenir que guérir, dit-on. Notre maison est en argile, elle ne résistera pas à la montée des eaux. C'est pourquoi il est impératif pour nous de partir dès maintenant pour éviter des dégâts matériels et des pertes en vies humaines comme dans les années précédentes. »
« Trouver une solution adéquate »
Au quartier M'poko-Bac, tout le monde est en alerte. Josué Kito est l'une des figures locales : « D'ici peu de temps, toutes les maisons seront touchées. Mon message, c'est qu'il faut nous venir en aide pour élargir le canal d'évacuation et trouver une solution adéquate pour que l'eau puisse couler normalement vers les collecteurs. »
Le gouvernement et ses partenaires préparent un plan d'urgence pour reloger les familles vulnérables sur des terrains sécurisés avant d'urbaniser le secteur.
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