Dans un communiqué la force onusienne «condamne l’attaque perpétrée par des éléments armés qui ont ouvert le feu sur une patrouille de la police de la Minusca dans le quartier de Bangui appelé Combattant au 8ème arrondissement, dans la soirée du vendredi 10 octobre, faisant six blessés parmi les casques bleus».
«Ces attaques répétées doivent cesser immédiatement», a insisté la Minusca, rappelant «que les forces de maintien de la paix se sont déployées en RCA (République centrafricaine) pour accompagner les populations dans la recherche d’une paix durable».
«Il est inacceptable que des Casques bleus venus de divers horizons dans cet objectif, deviennent la cible d’attaque», a-t-elle ajouté, sans préciser la nationalité des victimes.
Un Casque bleu pakistanais avait été tué et neuf autres blessés la veille, jeudi soir, près de Bangui.
La force onusienne, créée en avril par une résolution du Conseil de sécurité, est déployée sur le terrain depuis le 15 septembre et doit compter 12.000 soldats et policiers à effectif plein.
Bangui a été de nouveau secouée cette semaine par des violences inter-communautaires qui ont fait au moins 10 morts et plusieurs dizaines de blessés depuis mardi, provoquant de nouveaux déplacements de populations, après plusieurs semaines d’accalmie en Centrafrique.
Le calme était dans l’ensemble revenu samedi, mais des échanges de tirs étaient encore signalés à une dizaine de kilomètres au nord de la capitale.
«Ces attaques répétées doivent cesser immédiatement», a insisté la Minusca, rappelant «que les forces de maintien de la paix se sont déployées en RCA (République centrafricaine) pour accompagner les populations dans la recherche d’une paix durable».
«Il est inacceptable que des Casques bleus venus de divers horizons dans cet objectif, deviennent la cible d’attaque», a-t-elle ajouté, sans préciser la nationalité des victimes.
Un Casque bleu pakistanais avait été tué et neuf autres blessés la veille, jeudi soir, près de Bangui.
La force onusienne, créée en avril par une résolution du Conseil de sécurité, est déployée sur le terrain depuis le 15 septembre et doit compter 12.000 soldats et policiers à effectif plein.
Bangui a été de nouveau secouée cette semaine par des violences inter-communautaires qui ont fait au moins 10 morts et plusieurs dizaines de blessés depuis mardi, provoquant de nouveaux déplacements de populations, après plusieurs semaines d’accalmie en Centrafrique.
Le calme était dans l’ensemble revenu samedi, mais des échanges de tirs étaient encore signalés à une dizaine de kilomètres au nord de la capitale.