Un éminent penseur disait qu’ « écrire est un grand pouvoir, celui de changer le monde dans lequel on vit ».
Oui, l’écrivain cet intellectuel doit être pour son peuple « celui qui lit dans le ciel le chemin que nous trace le doigt du Seigneur ». C’est donc dire que sa mission est essentielle, car à tout le moins, il devrait pouvoir inventer « un poste de peur en ce vaste monde qui fout le camp ».
Dès lors, il est attendu de l’écrivain qu’il prenne fait et cause pour la justice et s’engage aux côtés de son peuple, pour la vérité en toutes circonstances. Cela signifie qu’il ne doit avoir pour seul guide qu’une conscience patriotique et comme seule référence la vérité.
Cette vérité est celle qui est commune à tout le monde, et donc sa posture ne doit être que celle d’un engagement courageux pour sa manifestation, quoiqu’il puisse lui en coûter.
Si l’écrivain pour une raison quelconque renonce à sa mission et choisit non pas de prendre part aux côtés de ceux qui subissent l’Histoire, pour le cas qui nous concerne le peuple sénégalais en l’occurrence dont les institutions sont agressées et sa stabilité menacée, mais détermine sa position par un soutien marqué à ceux qui aujourd’hui sont les contempteurs de notre démocratie, nous pouvons affirmer sans ambages que les leçons d’hier ni leurs pérégrinations à travers le monde ne leur auront servi à rien.
Les trois mousquetaires dont il s’agit ici n’ont décidément ni appris de leurs expériences multiples, ni de leurs séjours sur tous les continents. Sinon, un doyen de la trempe de Boubacar Boris Diop qui a commis un roman bouleversant sur la tragédie rwandaise aurait dans les circonstance actuelles alerté sur les dangers de l’ effondrement d’une nation, et il aurait ensuite dans une posture exemplaire d’intégrité intellectuelle situé les responsabilités des uns et des autres dans les événements douloureux que vit le peuple sénégalais, au lieu de souffler en compagnie de ses fils et neveux sur les braises, en désignant un régime démocratiquement élu coupable de prendre en otage la démocratie alors que ceux qui en menacent les fondements appellent à une insurrection pour le renverser.
Je n’en attends pas autant de Mohamed Mbougar Sarr qui a la lâcheté d’assumer son identité profonde devant le peuple sénégalais et crie sa haine de notre modèle sociale en co-signant ce torchon avec lequel il compte nettoyer sa conscience et se faire adopter par une jeunesse qui n’a aucune raison de s’identifier à lui.
Felwine Sarr quant à lui sert une cause dont il est un des wagons, comme il a toujours été dans l’attelage de toutes les causes qui lui permettent opportunément de figurer, quitte à être un éternel second : Souleymane Bachir Diagne brille dans les universités américaines : Felwine suit opportunément ses pas et plastronne de s’être fait recruter par une faculté de seconde zone. Mohamed Mbougar Sarr a eu son heure de gloire : Felwine dans la foulée sort opportunément un torchis qu’il appelle roman pour marcher sur ses pas !
Le Sénégal en ce moment n’a pas besoin de pseudo intellectuels qui s’érigent en cour martiale pour juger et condamner. Nous sommes en attente de tous les porteurs d’eau qui créent des mythes qui galvanisent et portent le peuple en avant, et qui, dans un ultime sursaut, nous fait nous retrouver en tant que nation, pour faire face à cette épreuve et nous réconcilier avec notre histoire, quitte à, pour y parvenir, rendre l’histoire, notre histoire plus historique !
Ce trio maléfique dont nous désespérons ose affirmer sans ciller que « la situation en cours résulte de la dérive autoritaire du président. L’hubris d’un pouvoir qui emprisonne ou exile ses opposants les plus menaçants, réprime les libertés et tire sur son propre peuple avec une révoltante impunité » !
Par cette affirmation, ces gens nient à notre pays l’existence d’une Justice indépendante, et contestent aujourd’hui des décisions judiciaires dans le seul but d’utiliser cette subreptice analyse comme amorce de la cause qui leur importe, à laquelle ils ont fait allégeance et qui est en fait l’objet véritable de leur violente diatribe comme le régime : Pastef et son gourou en chef !
Et voilà qu’ils affirment donc, sans masques que, si eux, et les groupes extrémistes et fanatisés qui partagent leur cause que, s’ils en sont arrivés là « c'est parce qu’[ils n’ont ] pas assez réagi quand le régime en place s'est mis à traquer les militants et les cadres de Pastef en plus bien évidemment de son leader, Ousmane Sonko »
Ils ont bien raison de dire que « les événements en cours exigent de chacun qu'il prenne ses responsabilités »
En effet, contrairement à eux, le peuple sénégalais qu’ils incitent à se révolter contre l’Etat pour renverser le régime grâce à un soulèvement populaire qu’ils appellent vainement, leur gourou en chef et eux, de leurs vœux ne répondra jamais à leur invite.
Le peuple sénégalais est mûr, le peuple sénégalais est majeur, le peuple sénégalais est citoyennement attaché à l’Etat de droit, et d’ailleurs, à l’unanimité, tout le pays a salué le tact et le professionnalisme des forces de défense et de sécurité qui, à aucun moment, n’auront fait usage de leurs armes ; au contraire, ces vaillants policiers et gendarmes se seront fait lyncher ou tirer comme des lapins, qui aux parcelles assainies, qui à Diamniadio.
Cette cécité volontaire qui oriente leurs fausses accusations les a empêchés certainement de voir ces rebelles brandissant des armes de guerre sur l’autoroute, ou tirant des coups de feu au cœur des manifestations dont ils ont passé tartuffément la violence sous silence.
Notre justice quant à elle a dit le droit, sans « fragilité » et sans « fébrilité ». Ceux qui ne sont pas satisfaits de leurs jugements ont des voies de recours qui leur permettent de contester leurs condamnations.
Il eût été plus loisible pour nos trois mousquetaires de les inviter à respecter la justice de leur pays et à aller répondre de leurs actes devant la barre, plutôt que de fuir leurs responsabilités et d’appeler la rue à renverser un régime et à semer le chaos pour échapper à leur condamnation.
Quand le destin d’un seul homme remet en cause l’existence de toute une nation par la contestation de ce qui en fonde la base, c’est-à-dire l’égalité devant la loi, il y a de quoi payer de sa vie un refus de cautionner un tel état de fait si l’on souhaite que notre pays le Sénégal nous survive et que l’Etat continue de nous protéger tous.
Les Sénégalais.e.s sont attachés à leur liberté tout court. Ils ont souverainement élu le Président Macky Sall en 2019, ils ont souverainement renouvelé les exécutifs locaux en 2022 et l’Assemblée nationale dans la foulée, sans contentieux majeur. Ils éliront qui ils voudront prochain Président de la République pour conduire la destinée de notre beau pays.
Cessez donc de vous ériger en donneurs de leçons et de vous autoproclamer arbitres de notre jeu démocratique au point de choisir qui est mieux pour incarner l’avenir de notre pays.
Cette jeunesse, que vous jugez « manquer de perspectives », ne vous écoute pas. Elle ne vous entend pas non plus. Et même si certains d’entre eux se croient sans avenir alors qu’ils sont seulement sans objectifs, le Sénégal qui sait que chaque génération est un peuple nouveau est en train de construire les infrastructures et d’asseoir la politique de formation et de mutation de notre modèle économique pour les préparer à construire notre pays, leur pays dont ils devront prendre soin pour le remettre à leurs petits frères en meilleur état, au nom de la responsabilité générationnelle.
Et c’est bien parce le Président Macky Sall est conscient que le Sénégal a besoin d’une réforme structurelle et en profondeur, que l’horizon pour l’émergence économique est fixée en 2035 et qu’il travaille à asseoir les bases d’une transformation structurelle de notre économie en valorisant au maximum le capital humain, c’est à dire l’énorme potentiel de notre jeunesse, pour y arriver.
Le Sénégal que vous peignez donc chers messieurs « par des tours de passe-passe sémantiques » aux fins de « travestir la réalité » pour diaboliser son régime et ses institutions est celui dont nous sommes fiers et dont nous assumons les soubresauts signes de son dynamisme démocratique, mais que nous défendrons en imposant à tous les citoyens à commencer par nous-mêmes le respect intangible des principes qui fondent notre commune volonté de vivre ensemble.
Il en sera ainsi, pour toujours.
« Le monde est vieux, mais l’avenir sort du passé », chers messieurs !
Cissé Kane NDAO
Président A.DE.R
Oui, l’écrivain cet intellectuel doit être pour son peuple « celui qui lit dans le ciel le chemin que nous trace le doigt du Seigneur ». C’est donc dire que sa mission est essentielle, car à tout le moins, il devrait pouvoir inventer « un poste de peur en ce vaste monde qui fout le camp ».
Dès lors, il est attendu de l’écrivain qu’il prenne fait et cause pour la justice et s’engage aux côtés de son peuple, pour la vérité en toutes circonstances. Cela signifie qu’il ne doit avoir pour seul guide qu’une conscience patriotique et comme seule référence la vérité.
Cette vérité est celle qui est commune à tout le monde, et donc sa posture ne doit être que celle d’un engagement courageux pour sa manifestation, quoiqu’il puisse lui en coûter.
Si l’écrivain pour une raison quelconque renonce à sa mission et choisit non pas de prendre part aux côtés de ceux qui subissent l’Histoire, pour le cas qui nous concerne le peuple sénégalais en l’occurrence dont les institutions sont agressées et sa stabilité menacée, mais détermine sa position par un soutien marqué à ceux qui aujourd’hui sont les contempteurs de notre démocratie, nous pouvons affirmer sans ambages que les leçons d’hier ni leurs pérégrinations à travers le monde ne leur auront servi à rien.
Les trois mousquetaires dont il s’agit ici n’ont décidément ni appris de leurs expériences multiples, ni de leurs séjours sur tous les continents. Sinon, un doyen de la trempe de Boubacar Boris Diop qui a commis un roman bouleversant sur la tragédie rwandaise aurait dans les circonstance actuelles alerté sur les dangers de l’ effondrement d’une nation, et il aurait ensuite dans une posture exemplaire d’intégrité intellectuelle situé les responsabilités des uns et des autres dans les événements douloureux que vit le peuple sénégalais, au lieu de souffler en compagnie de ses fils et neveux sur les braises, en désignant un régime démocratiquement élu coupable de prendre en otage la démocratie alors que ceux qui en menacent les fondements appellent à une insurrection pour le renverser.
Je n’en attends pas autant de Mohamed Mbougar Sarr qui a la lâcheté d’assumer son identité profonde devant le peuple sénégalais et crie sa haine de notre modèle sociale en co-signant ce torchon avec lequel il compte nettoyer sa conscience et se faire adopter par une jeunesse qui n’a aucune raison de s’identifier à lui.
Felwine Sarr quant à lui sert une cause dont il est un des wagons, comme il a toujours été dans l’attelage de toutes les causes qui lui permettent opportunément de figurer, quitte à être un éternel second : Souleymane Bachir Diagne brille dans les universités américaines : Felwine suit opportunément ses pas et plastronne de s’être fait recruter par une faculté de seconde zone. Mohamed Mbougar Sarr a eu son heure de gloire : Felwine dans la foulée sort opportunément un torchis qu’il appelle roman pour marcher sur ses pas !
Le Sénégal en ce moment n’a pas besoin de pseudo intellectuels qui s’érigent en cour martiale pour juger et condamner. Nous sommes en attente de tous les porteurs d’eau qui créent des mythes qui galvanisent et portent le peuple en avant, et qui, dans un ultime sursaut, nous fait nous retrouver en tant que nation, pour faire face à cette épreuve et nous réconcilier avec notre histoire, quitte à, pour y parvenir, rendre l’histoire, notre histoire plus historique !
Ce trio maléfique dont nous désespérons ose affirmer sans ciller que « la situation en cours résulte de la dérive autoritaire du président. L’hubris d’un pouvoir qui emprisonne ou exile ses opposants les plus menaçants, réprime les libertés et tire sur son propre peuple avec une révoltante impunité » !
Par cette affirmation, ces gens nient à notre pays l’existence d’une Justice indépendante, et contestent aujourd’hui des décisions judiciaires dans le seul but d’utiliser cette subreptice analyse comme amorce de la cause qui leur importe, à laquelle ils ont fait allégeance et qui est en fait l’objet véritable de leur violente diatribe comme le régime : Pastef et son gourou en chef !
Et voilà qu’ils affirment donc, sans masques que, si eux, et les groupes extrémistes et fanatisés qui partagent leur cause que, s’ils en sont arrivés là « c'est parce qu’[ils n’ont ] pas assez réagi quand le régime en place s'est mis à traquer les militants et les cadres de Pastef en plus bien évidemment de son leader, Ousmane Sonko »
Ils ont bien raison de dire que « les événements en cours exigent de chacun qu'il prenne ses responsabilités »
En effet, contrairement à eux, le peuple sénégalais qu’ils incitent à se révolter contre l’Etat pour renverser le régime grâce à un soulèvement populaire qu’ils appellent vainement, leur gourou en chef et eux, de leurs vœux ne répondra jamais à leur invite.
Le peuple sénégalais est mûr, le peuple sénégalais est majeur, le peuple sénégalais est citoyennement attaché à l’Etat de droit, et d’ailleurs, à l’unanimité, tout le pays a salué le tact et le professionnalisme des forces de défense et de sécurité qui, à aucun moment, n’auront fait usage de leurs armes ; au contraire, ces vaillants policiers et gendarmes se seront fait lyncher ou tirer comme des lapins, qui aux parcelles assainies, qui à Diamniadio.
Cette cécité volontaire qui oriente leurs fausses accusations les a empêchés certainement de voir ces rebelles brandissant des armes de guerre sur l’autoroute, ou tirant des coups de feu au cœur des manifestations dont ils ont passé tartuffément la violence sous silence.
Notre justice quant à elle a dit le droit, sans « fragilité » et sans « fébrilité ». Ceux qui ne sont pas satisfaits de leurs jugements ont des voies de recours qui leur permettent de contester leurs condamnations.
Il eût été plus loisible pour nos trois mousquetaires de les inviter à respecter la justice de leur pays et à aller répondre de leurs actes devant la barre, plutôt que de fuir leurs responsabilités et d’appeler la rue à renverser un régime et à semer le chaos pour échapper à leur condamnation.
Quand le destin d’un seul homme remet en cause l’existence de toute une nation par la contestation de ce qui en fonde la base, c’est-à-dire l’égalité devant la loi, il y a de quoi payer de sa vie un refus de cautionner un tel état de fait si l’on souhaite que notre pays le Sénégal nous survive et que l’Etat continue de nous protéger tous.
Les Sénégalais.e.s sont attachés à leur liberté tout court. Ils ont souverainement élu le Président Macky Sall en 2019, ils ont souverainement renouvelé les exécutifs locaux en 2022 et l’Assemblée nationale dans la foulée, sans contentieux majeur. Ils éliront qui ils voudront prochain Président de la République pour conduire la destinée de notre beau pays.
Cessez donc de vous ériger en donneurs de leçons et de vous autoproclamer arbitres de notre jeu démocratique au point de choisir qui est mieux pour incarner l’avenir de notre pays.
Cette jeunesse, que vous jugez « manquer de perspectives », ne vous écoute pas. Elle ne vous entend pas non plus. Et même si certains d’entre eux se croient sans avenir alors qu’ils sont seulement sans objectifs, le Sénégal qui sait que chaque génération est un peuple nouveau est en train de construire les infrastructures et d’asseoir la politique de formation et de mutation de notre modèle économique pour les préparer à construire notre pays, leur pays dont ils devront prendre soin pour le remettre à leurs petits frères en meilleur état, au nom de la responsabilité générationnelle.
Et c’est bien parce le Président Macky Sall est conscient que le Sénégal a besoin d’une réforme structurelle et en profondeur, que l’horizon pour l’émergence économique est fixée en 2035 et qu’il travaille à asseoir les bases d’une transformation structurelle de notre économie en valorisant au maximum le capital humain, c’est à dire l’énorme potentiel de notre jeunesse, pour y arriver.
Le Sénégal que vous peignez donc chers messieurs « par des tours de passe-passe sémantiques » aux fins de « travestir la réalité » pour diaboliser son régime et ses institutions est celui dont nous sommes fiers et dont nous assumons les soubresauts signes de son dynamisme démocratique, mais que nous défendrons en imposant à tous les citoyens à commencer par nous-mêmes le respect intangible des principes qui fondent notre commune volonté de vivre ensemble.
Il en sera ainsi, pour toujours.
« Le monde est vieux, mais l’avenir sort du passé », chers messieurs !
Cissé Kane NDAO
Président A.DE.R