«L’initiative de la chaire UNESCO éducation et santé est de jeter un regard croisé sur le rôle de l’éducation dans le développement. Et surtout de mettre l’accent sur la question de dividende démographique. Je crois qu’il y a la nécessité d’investir davantage dans la génération de donner et, d’évidence, pour accompagner des décisions publiques, afin de les rendre beaucoup plus efficaces et efficientes», a déclaré Mabingué Ngom.
Poursuivant ses propos, M. Ngom explique que «la recherche est une recherche tournée vers l’action, à la capacité de les aider à éviter certaines erreurs. Car selon lui «l’éducation sexuelle est capitale pour réfléchir la croissance démographique, mais également un certain nombre de problèmes au connexe. Mais y compris les infections du VIH/ Sida, des maladies sexuellement transmissibles et des comportements seins au niveau des jeunes ».
Avant de reconnaître qu’il a eu effectivement des progrès qui restent cependant lent à son goût. D’autant plus que dans certaines contrées, les filles subissent des discriminations dès leur naissance, n’étant pas déclarées à cause de leur sexe.
Ce qui le pousse à affirmer que si ce problème est réglé, un grand pas sera franchi en direction du règlement du problème des problèmes de la santé sexuelle des filles e de la reproduction, mais aussi, d’utiliser le potentiel qu’il y a en chaque fille».
Leur action de ce matin entre dans le cadre, fait-il savoir, d’aider les populations en relevant leur niveau de connaissance, mais aussi, faire prendre conscience à la famille «à comprendre son corps et à se protéger. Alors on ne peut parler de contrôle de limitation de naissance, ce n’est pas notre rôle».
Ce qui le pousse à affirmer que si ce problème est réglé, un grand pas sera franchi en direction du règlement du problème des problèmes de la santé sexuelle des filles e de la reproduction, mais aussi, d’utiliser le potentiel qu’il y a en chaque fille».
Leur action de ce matin entre dans le cadre, fait-il savoir, d’aider les populations en relevant leur niveau de connaissance, mais aussi, faire prendre conscience à la famille «à comprendre son corps et à se protéger. Alors on ne peut parler de contrôle de limitation de naissance, ce n’est pas notre rôle».
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