20 ans après l’avoir organisé, le Sénégal va de nouveau accueillir le monde du taekwondo africain. Le complexe « Dakar Arena » sera la terre d’accueil des combattants venus de divers coins de l’Afrique qui vont rivaliser pendant deux joueurs dans les différentes catégories. Le Comité Local d’Organisation (CLO) a tenu une conférence de presse ce lundi pour dévoiler les grandes lignes de l’événement qui va accueillir un demi-millier de combattants africains.
Un rendez-vous important puisque les athlètes africains qualifiés aux Jeux olympiques (JO) 2020 ont la possibilité de marquer des points lors de cette compétition. « Nous attendons plus de 54 pays à Dakar. Aujourd’hui, il y’a presque 25 pays qui ont déjà confirmé leur participation. Et à partir du 10 mai, nous allons clôturer les enregistrements. Ce qui veut dire que le Sénégal attend plus de 500 combattants qui viendront pour la compétition. Parmi ces athlètes figurent des champions olympiques, des champions du monde, des champions d’Afrique. Cette compétition est un G4 à 40 points pour les athlètes qui vont compétir pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Ce qui veut dire que Dakar sera le hub du sport dans le domaine du Taekwondo. Ces 40 points vont jouer un rôle très important pour le classement de ces athlètes en vue des JO parce que ça leur permettra d’être bien placés au ranking de cette compétition à Tokyo » souligne Balla Dieye par ailleurs président de la Fédération sénégalaise de taekwondo (FST).
Il faudra donc s’attendre à voir les grosses pontes comme l’Ivoirien Cheikh Cissé Sallah (-80 kgs, médaillé d’or à Rio 2016) ou encore le Gabonais Anthony Obame (+87 kgs, médaillé d’argent à Londres en 2012) et le Nigérien Abdoulrazak Issoufou Alfaga (+80 kilos, médaillé d’argent à Rio en 2016), Chaque équipe devrait déplacer 8 athlètes chez les garçons et 8 chez les filles. L’équipe dirigée par l’ancien champion d’Afrique Balla Dieye veut réussir le pari de l’organisation pour une première sous son magistère.
« L’importance d’organiser cette compétition à Dakar est de montrer que la fédération sénégalaise de Taekwondo est toujours dans sa logique de préparation des JOJ Dakar 2026. Avec le Dakar Arena de Diamniadio, nous pouvons offrir ce qu’il y a de meilleur à notre continent et au monde en termes de structure d’accueil. Cette compétition est d’une importance capitale pour la fédération mondiale du Taekwondo qui va d’ailleurs superviser ces championnats d’Afrique. Un comité local d’organisation a été mis en place et nous sommes prêts à relever le défi » assure-t-il.
En plus du défi organisationnel, le Sénégal veut réussir aussi celui de la participation. Pour ce faire, l’équipe nationale du Sénégal est en regroupement fermé depuis un mois et demi au niveau de l’arène nationale de lutte afin que « les combattants puissent faire de bons résultats ici à Dakar », rapporte Le Témoin.
Un rendez-vous important puisque les athlètes africains qualifiés aux Jeux olympiques (JO) 2020 ont la possibilité de marquer des points lors de cette compétition. « Nous attendons plus de 54 pays à Dakar. Aujourd’hui, il y’a presque 25 pays qui ont déjà confirmé leur participation. Et à partir du 10 mai, nous allons clôturer les enregistrements. Ce qui veut dire que le Sénégal attend plus de 500 combattants qui viendront pour la compétition. Parmi ces athlètes figurent des champions olympiques, des champions du monde, des champions d’Afrique. Cette compétition est un G4 à 40 points pour les athlètes qui vont compétir pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Ce qui veut dire que Dakar sera le hub du sport dans le domaine du Taekwondo. Ces 40 points vont jouer un rôle très important pour le classement de ces athlètes en vue des JO parce que ça leur permettra d’être bien placés au ranking de cette compétition à Tokyo » souligne Balla Dieye par ailleurs président de la Fédération sénégalaise de taekwondo (FST).
Il faudra donc s’attendre à voir les grosses pontes comme l’Ivoirien Cheikh Cissé Sallah (-80 kgs, médaillé d’or à Rio 2016) ou encore le Gabonais Anthony Obame (+87 kgs, médaillé d’argent à Londres en 2012) et le Nigérien Abdoulrazak Issoufou Alfaga (+80 kilos, médaillé d’argent à Rio en 2016), Chaque équipe devrait déplacer 8 athlètes chez les garçons et 8 chez les filles. L’équipe dirigée par l’ancien champion d’Afrique Balla Dieye veut réussir le pari de l’organisation pour une première sous son magistère.
« L’importance d’organiser cette compétition à Dakar est de montrer que la fédération sénégalaise de Taekwondo est toujours dans sa logique de préparation des JOJ Dakar 2026. Avec le Dakar Arena de Diamniadio, nous pouvons offrir ce qu’il y a de meilleur à notre continent et au monde en termes de structure d’accueil. Cette compétition est d’une importance capitale pour la fédération mondiale du Taekwondo qui va d’ailleurs superviser ces championnats d’Afrique. Un comité local d’organisation a été mis en place et nous sommes prêts à relever le défi » assure-t-il.
En plus du défi organisationnel, le Sénégal veut réussir aussi celui de la participation. Pour ce faire, l’équipe nationale du Sénégal est en regroupement fermé depuis un mois et demi au niveau de l’arène nationale de lutte afin que « les combattants puissent faire de bons résultats ici à Dakar », rapporte Le Témoin.