En détention depuis 2022, I. Baldé, accusé " de viol et de diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs ", a comparu hier mercredi devant la Chambre criminelle de Dakar. Au cœur de l’affaire : une manipulation orchestrée par l’accusé pour piéger et exploiter sa collègue, Ndèye A.
Tout commence lorsque l’accusé présente à la victime un prétendu émigré, connu sous le nom de Cheikh, récemment revenu de France, en promettant que ce dernier pourrait financer son commerce. Séduite par cette opportunité, Ndèye A., a entamé une relation amoureuse virtuelle avec l’émigré, encouragée par I. Baldé. Ce dernier, se faisant passer pour un intermédiaire de confiance, l'a convaincu d’envoyer des photos intimes, informe L'Observateur.
Le piège s'est refermé sur la jeune fille après le retour de Cheikh en France. En usurpant le compte WhatsApp de l’émigré, I. Baldé manipule la victime, lui demandant de satisfaire des fantasmes sexuels sous prétexte que c’était la volonté de l’émigré. Il réussit à obtenir plusieurs vidéos intimes.
Lorsque la victime décide de mettre fin à ce cycle infernal, I. Baldé la menace de diffuser les vidéos compromettantes. Pour renforcer la pression, il publie une des vidéos sur son statut WhatsApp, visible uniquement par la victime. Après sept mois de chantage, Ndèye A., porte plainte, conduisant à l’arrestation de l’accusé.
Face à la justice, I. Baldé a admis avoir menacé la victime et diffusé une vidéo pour « se venger » après avoir découvert des échanges entre elle et l’émigré. Toutefois, il réfute l’accusation de viol, affirmant que leurs relations étaient consenties. Il soutient également que la victime était à l’origine de la relation avec l’émigré et qu’elle lui avait demandé de faciliter leur mise en contact.
Le procureur de la République a requis une peine de 10 ans de prison ferme pour viol et 2 ans pour "diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, avec confusion des peines." Le tribunal rendra son verdict le 21 janvier prochain.
Tout commence lorsque l’accusé présente à la victime un prétendu émigré, connu sous le nom de Cheikh, récemment revenu de France, en promettant que ce dernier pourrait financer son commerce. Séduite par cette opportunité, Ndèye A., a entamé une relation amoureuse virtuelle avec l’émigré, encouragée par I. Baldé. Ce dernier, se faisant passer pour un intermédiaire de confiance, l'a convaincu d’envoyer des photos intimes, informe L'Observateur.
Le piège s'est refermé sur la jeune fille après le retour de Cheikh en France. En usurpant le compte WhatsApp de l’émigré, I. Baldé manipule la victime, lui demandant de satisfaire des fantasmes sexuels sous prétexte que c’était la volonté de l’émigré. Il réussit à obtenir plusieurs vidéos intimes.
Lorsque la victime décide de mettre fin à ce cycle infernal, I. Baldé la menace de diffuser les vidéos compromettantes. Pour renforcer la pression, il publie une des vidéos sur son statut WhatsApp, visible uniquement par la victime. Après sept mois de chantage, Ndèye A., porte plainte, conduisant à l’arrestation de l’accusé.
Face à la justice, I. Baldé a admis avoir menacé la victime et diffusé une vidéo pour « se venger » après avoir découvert des échanges entre elle et l’émigré. Toutefois, il réfute l’accusation de viol, affirmant que leurs relations étaient consenties. Il soutient également que la victime était à l’origine de la relation avec l’émigré et qu’elle lui avait demandé de faciliter leur mise en contact.
Le procureur de la République a requis une peine de 10 ans de prison ferme pour viol et 2 ans pour "diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, avec confusion des peines." Le tribunal rendra son verdict le 21 janvier prochain.
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