Le président de la Commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale, Cheikh Seck, a répondu à Me Abdoulaye Babou, estimant que sa déclaration sur la plénière à l’hémicycle n’est pas fondée, lors de l’émission grand jury dimanche sur la Rfm.
« Je suis désolé. Ce que Me Babou dit n’est pas fondé. Je l’ai suivi faire beaucoup de développement, mais il ne connait pas la loi mieux que nous, même si c’est un avocat. Il ne connait pas mieux que nous la loi organique de l’Assemblée », a-t-il réagi, précisant qu’il est à son troisième mandat.
Sur les ondes de la même radio, l’avocat a soutenu que « la plénière à l’Assemblée nationale ne doit plus se tenir. Du moment que la justice s’est saisie de l’affaire, elle devient sans objet ». Il précise qu’à partir de là, le Juge d’instruction a la possibilité de faire son enquête comme il le veut.
Sous cet angle, la commission d’enquête est renvoyée sine die, l’Assemblée nationale n’a même plus le pouvoir de s’y prononcer et de donner un résultat », avait-il indiqué.
« Ce que dit Me Babou, je pense qu’il amuse la galerie. Le juge a été saisi au moment où notre travail était terminé. Avec tout le travail que nous avons fait, est-ce que si Sonko attend le dernier moment pour écrire au juge d’instruction, cela peut nous empêcher de faire la restitution ? Je dis non », répond M. Seck.
« Je suis désolé. Ce que Me Babou dit n’est pas fondé. Je l’ai suivi faire beaucoup de développement, mais il ne connait pas la loi mieux que nous, même si c’est un avocat. Il ne connait pas mieux que nous la loi organique de l’Assemblée », a-t-il réagi, précisant qu’il est à son troisième mandat.
Sur les ondes de la même radio, l’avocat a soutenu que « la plénière à l’Assemblée nationale ne doit plus se tenir. Du moment que la justice s’est saisie de l’affaire, elle devient sans objet ». Il précise qu’à partir de là, le Juge d’instruction a la possibilité de faire son enquête comme il le veut.
Sous cet angle, la commission d’enquête est renvoyée sine die, l’Assemblée nationale n’a même plus le pouvoir de s’y prononcer et de donner un résultat », avait-il indiqué.
« Ce que dit Me Babou, je pense qu’il amuse la galerie. Le juge a été saisi au moment où notre travail était terminé. Avec tout le travail que nous avons fait, est-ce que si Sonko attend le dernier moment pour écrire au juge d’instruction, cela peut nous empêcher de faire la restitution ? Je dis non », répond M. Seck.