Les vagues de polémiques provoquées par l’annonce officieuse de la candidature de Me Wade continuent de se déverser. Invité à l’émission hebdomadaire "Remue-ménage", de la Rfm, le journaliste Cheikh Yérim Seck a soutenu, mordicus, que le patron de la majorité présidentielle ne peut pas se présenter pour un autre mandat. «La lettre même de la constitution empêche même Abdoulaye Wade de briguer un autre mandat. Je pense très clairement que les gens situent le débat au niveau de l’esprit de la loi », a déclaré Cheikh Yérim Seck qui ajoute : «Je ne parle même pas d’esprit parce que quand on parle d’esprit on est au niveau de l’irréel, de la pensée, de l’hypothèse, etc». Pour lui, l’article 104 de la constitution est très clair.
Selon le journaliste de Jeune Afrique, cette question est très importante. «Je pense que c’est une question fondamentale pour l’avenir politique immédiat du pays. Ce n’est pas un débat de politicien. C’est un débat de spécialistes qui relève des techniques constitutionnelles», a-t-il noté. C’est pour cette raison qu’il estime que «ceux qui disent que c’est un faux débat ont tout faux et que ceux qui disent que ce débat n’est pas sérieux ne sont pas sérieux, eux-mêmes».
Il pense que les juristes doivent non seulement parler mais encore écrire. «Les spécialistes doivent débattre de cette question qui, à mon sens, est une vraie question», a-t-il souhaité.
«Parce qu’aujourd’hui, si on a une lecture sérieuse de spécialiste, on se rend compte qu’il y a un vrai problème sur la candidature de Me Wade en 2012», a plaidé le juriste et journaliste, Cheikh Yérim Seck..
Pour lui, Abdoulaye Wade qui fut juriste, lui-même, a sa lecture de la loi. «Au lendemain des élections de 2007, il a exprimé sa lecture de la loi. Car il fait partie de ceux qui ont travaillé à la mise en œuvre de cette constitution. Il a donné son point de vue, il y a aussi un certain nombre de documents comme des lettres d’explications que lui-même a envoyés aux membres de la commission. Tout cela traduit la vision, l’esprit et la philosophie de la loi fondamentale », a-t-il fait savoir.
Selon le journaliste de Jeune Afrique, cette question est très importante. «Je pense que c’est une question fondamentale pour l’avenir politique immédiat du pays. Ce n’est pas un débat de politicien. C’est un débat de spécialistes qui relève des techniques constitutionnelles», a-t-il noté. C’est pour cette raison qu’il estime que «ceux qui disent que c’est un faux débat ont tout faux et que ceux qui disent que ce débat n’est pas sérieux ne sont pas sérieux, eux-mêmes».
Il pense que les juristes doivent non seulement parler mais encore écrire. «Les spécialistes doivent débattre de cette question qui, à mon sens, est une vraie question», a-t-il souhaité.
«Parce qu’aujourd’hui, si on a une lecture sérieuse de spécialiste, on se rend compte qu’il y a un vrai problème sur la candidature de Me Wade en 2012», a plaidé le juriste et journaliste, Cheikh Yérim Seck..
Pour lui, Abdoulaye Wade qui fut juriste, lui-même, a sa lecture de la loi. «Au lendemain des élections de 2007, il a exprimé sa lecture de la loi. Car il fait partie de ceux qui ont travaillé à la mise en œuvre de cette constitution. Il a donné son point de vue, il y a aussi un certain nombre de documents comme des lettres d’explications que lui-même a envoyés aux membres de la commission. Tout cela traduit la vision, l’esprit et la philosophie de la loi fondamentale », a-t-il fait savoir.
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