Dans son livre « Macky Sall Face à l’Histoire Passage sous scanner d’un pouvoir africain », Cheikh Yérim Seck a fait plusieurs révélations. Le journaliste est revenu une nouvelle histoire entre Ousmane Sonko et une femme retrouvés dans une voiture. Mais pas seulement....
Au chapitre 16 du document de 244 pages, le journaliste écrit : « On doit à la vérité de dire que Macky Sall ne s’est pas assis dans un cabinet pour concocter avec des barbouzes un complot visant à faire tomber Ousmane Sonko pour viol. Pour preuve, si l’Etat avait décidé de mettre ses énormes moyens au service d’un complot, l’affaire Adji Sarr n’aurait pas eu toutes les failles qui y ont été constatées ».
Poursuivant, il rappelle que en : « 2019, le ministre de l’Intérieur avait été saisi par des agents de police en patrouille qui lui avaient signifié avoir trouvé, à l’intérieur d’un véhicule garé dans un endroit suspect sur la corniche-Ouest de Dakar, Ousmane Sonko et une femme de nationalité gambienne dans une position délicate. Lorsque cette information a été remontée au Palais, compte tenu de la qualité de la personne concernée, instruction a été donnée de laisser les deux personnes libres de leurs mouvements ».
A l’en croire, lorsqu’au cours de la préparation de la campagne électorale, un ministre très agité a proposé que cet épisode de la corniche soit évoqué pour décrédibiliser le candidat de Pastef, Macky Sall l’a stoppé net : « Il ne faut pas glisser sur ce terrain. Allez convaincre les militants et appeler à voter pour la victoire. Montrez que notre projet est meilleur que le sien. Et que nous avons un bilan qui mérite qu’on nous refasse confiance. »
En revanche, selon certains témoignages recueillis par PressAfrik auprès d'hommes politiques et de journalistes, Cheikh Yerim Seck aurait travesti l’histoire en le changeant de contexte et de rôle. Dans quel but? Le temps est le meilleur juge.
Au chapitre 16 du document de 244 pages, le journaliste écrit : « On doit à la vérité de dire que Macky Sall ne s’est pas assis dans un cabinet pour concocter avec des barbouzes un complot visant à faire tomber Ousmane Sonko pour viol. Pour preuve, si l’Etat avait décidé de mettre ses énormes moyens au service d’un complot, l’affaire Adji Sarr n’aurait pas eu toutes les failles qui y ont été constatées ».
Poursuivant, il rappelle que en : « 2019, le ministre de l’Intérieur avait été saisi par des agents de police en patrouille qui lui avaient signifié avoir trouvé, à l’intérieur d’un véhicule garé dans un endroit suspect sur la corniche-Ouest de Dakar, Ousmane Sonko et une femme de nationalité gambienne dans une position délicate. Lorsque cette information a été remontée au Palais, compte tenu de la qualité de la personne concernée, instruction a été donnée de laisser les deux personnes libres de leurs mouvements ».
A l’en croire, lorsqu’au cours de la préparation de la campagne électorale, un ministre très agité a proposé que cet épisode de la corniche soit évoqué pour décrédibiliser le candidat de Pastef, Macky Sall l’a stoppé net : « Il ne faut pas glisser sur ce terrain. Allez convaincre les militants et appeler à voter pour la victoire. Montrez que notre projet est meilleur que le sien. Et que nous avons un bilan qui mérite qu’on nous refasse confiance. »
En revanche, selon certains témoignages recueillis par PressAfrik auprès d'hommes politiques et de journalistes, Cheikh Yerim Seck aurait travesti l’histoire en le changeant de contexte et de rôle. Dans quel but? Le temps est le meilleur juge.
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