Les résultats commencent à tomber sur l’ensemble du territoire national, les résultats du Bac. Et c’est toujours la même ambiance au moment des délibérations : des cris de joie et de tristesse. Normal pour des jeunes qui ont fourni des efforts et qui cherchent quelque part à faire honneur aux parents, des jeunes qui veulent avancer dans la vie, avec des diplômes, des qualifications, prendre le relève…
Aujourd’hui la communauté du système éducatif s’accorde au moins sur une chose : le faible niveau des élèves. Pour cette année encore on parle d’hécatombe relativement aux premiers résultats. Pourtant les programmes scolaires n’ont pas beaucoup évolué s’ils ne sont pas devenus moins difficile, pourquoi alors cet état de fait ? On parle du faible niveau des enseignants, de leur manque d’éthique, de leur problème de pédagogie et de leurs difficiles conditions de travail. Ce qui explique en partie l’abandon du volontariat, l’enseignement est une chaîne, tout est lié.
A la maison, les élèves n’ont plus tout l’encadrement requis. Ils sont assaillis par les effets d’une société de divertissement et de multimédia où rien n’est acquis et consolidé, tout est pris avec une légèreté légendaire, pour la majorité les parents sont préoccupés par la recherche de la dépense quotidienne. On ne peut pas dans ces conditions exiger certains résultats de nos enfants.
Parler de l’éducation c’est relevé la responsabilité des parents et des enfants mais surtout de l’autorité publique. Le tableau se présente ainsi : un gros lot qui arrive en classe de terminale sans le niveau, d’autres qui vont avoir le Bac sans une orientation et un lendemain clairs, l’année prochaine on reprend le même système et on recommence. Il faut savoir arrêter.
Le ministre de l’éducation a annoncé récemment une probable réforme de la fin du cycle primaire avec la suppression de l’entrée en 6e. Il est peut-être temps de réfléchir sur tout le système éducatif : les états généraux de l’éducation.
Aujourd’hui la communauté du système éducatif s’accorde au moins sur une chose : le faible niveau des élèves. Pour cette année encore on parle d’hécatombe relativement aux premiers résultats. Pourtant les programmes scolaires n’ont pas beaucoup évolué s’ils ne sont pas devenus moins difficile, pourquoi alors cet état de fait ? On parle du faible niveau des enseignants, de leur manque d’éthique, de leur problème de pédagogie et de leurs difficiles conditions de travail. Ce qui explique en partie l’abandon du volontariat, l’enseignement est une chaîne, tout est lié.
A la maison, les élèves n’ont plus tout l’encadrement requis. Ils sont assaillis par les effets d’une société de divertissement et de multimédia où rien n’est acquis et consolidé, tout est pris avec une légèreté légendaire, pour la majorité les parents sont préoccupés par la recherche de la dépense quotidienne. On ne peut pas dans ces conditions exiger certains résultats de nos enfants.
Parler de l’éducation c’est relevé la responsabilité des parents et des enfants mais surtout de l’autorité publique. Le tableau se présente ainsi : un gros lot qui arrive en classe de terminale sans le niveau, d’autres qui vont avoir le Bac sans une orientation et un lendemain clairs, l’année prochaine on reprend le même système et on recommence. Il faut savoir arrêter.
Le ministre de l’éducation a annoncé récemment une probable réforme de la fin du cycle primaire avec la suppression de l’entrée en 6e. Il est peut-être temps de réfléchir sur tout le système éducatif : les états généraux de l’éducation.