Ce lundi, vers dix heures, des techniciens de surface (les balayeurs des voies publiques) s’activaient à leur train train quotidien sur l’avenue Emile Badiane, à quelques encablures de la poste de la Médina de Dakar. A peine qu’ils ont nettoyé une place, un vendeur de sandales vient se poser et placer tranquillement sa marchandise.
Sans gène, il enlève les sachets qui enveloppaient certaines chaussures et les jette à quelques centimètres de lui, sur la place qui vient d’être balayée par « les pauvres ». En prenant le bus de la ligne neuf, une grande dame, après avoir bu son café, se perche tranquillement sur la fenêtre pour balancer le contenant. Personne n’a pipé mot.
Ces gestes ne doivent pas étonner. Ils ne sont pas étrangers. Nous les voyons chaque jour que Dieu fait. Et personne n’ose lever le plus petit doigt pour les dénoncer. D’aucuns parlent de problèmes d’éducation. Pour eux, c’est la perte de valeurs qui se poursuit à travers ses gestes indécents. Des gestes qui découragent mêmes les travailleurs qui sont chargés de la propreté de la ville.
La preuve, tous les espaces sont transformés en pissoirs, en dépotoirs sauvages. Et, certains Sénégalais se plaignent qu’on qualifie Dakar de la capitale de la saleté. Il ne peut en être autrement si les Sénégalais se maintiennent sur ces comportements et attitudes qui, malheureusement, ternissent le visage de la capitale sénégalaise.
Les autorités compétentes auront beau verser des milliards pour la rendre propre, aucun résultat positif ne sera enregistré s’il manque le petit réflexe consistant à regarder quelque pour voir une poubelle ou à la limite à tenir ses saletés dans un sachet pour les amener dans un endroit approprié.
Sans gène, il enlève les sachets qui enveloppaient certaines chaussures et les jette à quelques centimètres de lui, sur la place qui vient d’être balayée par « les pauvres ». En prenant le bus de la ligne neuf, une grande dame, après avoir bu son café, se perche tranquillement sur la fenêtre pour balancer le contenant. Personne n’a pipé mot.
Ces gestes ne doivent pas étonner. Ils ne sont pas étrangers. Nous les voyons chaque jour que Dieu fait. Et personne n’ose lever le plus petit doigt pour les dénoncer. D’aucuns parlent de problèmes d’éducation. Pour eux, c’est la perte de valeurs qui se poursuit à travers ses gestes indécents. Des gestes qui découragent mêmes les travailleurs qui sont chargés de la propreté de la ville.
La preuve, tous les espaces sont transformés en pissoirs, en dépotoirs sauvages. Et, certains Sénégalais se plaignent qu’on qualifie Dakar de la capitale de la saleté. Il ne peut en être autrement si les Sénégalais se maintiennent sur ces comportements et attitudes qui, malheureusement, ternissent le visage de la capitale sénégalaise.
Les autorités compétentes auront beau verser des milliards pour la rendre propre, aucun résultat positif ne sera enregistré s’il manque le petit réflexe consistant à regarder quelque pour voir une poubelle ou à la limite à tenir ses saletés dans un sachet pour les amener dans un endroit approprié.