«Le développement harmonieux du pays et la promotion de l’homme sénégalais ne s’improviseront pas. C’est à nous de les bâtir sur le roc solide et inébranlable» tels sont les propos de l’église catholique en cette journée commémorant la fête chrétienne de Pâques qui coïncide avec le cinquantenaire de l’indépendance du pays.
Ce souhait de l’église sénégalaise est en rapport aux différents maux que traverse le pays : « les discours sans horizons, la corruption, les détournements, la désespérance de la jeunesse face à l’avenir, les comportements des citoyens et des dirigeants, l’indiscipline, l’impunité, la violence multiforme… »
Les évêques du Sénégal face à la situation se posent certaines questions à savoir : « quelles sont d’ailleurs nos références éthiques et morales aujourd’hui ? Quels modèles pour le Sénégal et les sénégalais ? Que dire des litiges à propos des terres ?». Ils reconnaissent que malgré les efforts déployés force est de reconnaître que : «les problèmes demeurent en ville comme à la campagne».
Un diagnostic pour la paix se justifie du fait du chaos au niveau national : « les situations de conflit, particulièrement celui de la Casamance, les scènes de violence entre individus, dans les familles, dans les lieux de travail, au sein ou entre les partis politiques et dans la rue, la paix comme valeur et vertu semble avoir moins de résonnance dans notre pays».
Ainsi, les évêques du Sénégal lancent un appel à tous, en nous demandant de devenir des artisans de la paix.
Ce souhait de l’église sénégalaise est en rapport aux différents maux que traverse le pays : « les discours sans horizons, la corruption, les détournements, la désespérance de la jeunesse face à l’avenir, les comportements des citoyens et des dirigeants, l’indiscipline, l’impunité, la violence multiforme… »
Les évêques du Sénégal face à la situation se posent certaines questions à savoir : « quelles sont d’ailleurs nos références éthiques et morales aujourd’hui ? Quels modèles pour le Sénégal et les sénégalais ? Que dire des litiges à propos des terres ?». Ils reconnaissent que malgré les efforts déployés force est de reconnaître que : «les problèmes demeurent en ville comme à la campagne».
Un diagnostic pour la paix se justifie du fait du chaos au niveau national : « les situations de conflit, particulièrement celui de la Casamance, les scènes de violence entre individus, dans les familles, dans les lieux de travail, au sein ou entre les partis politiques et dans la rue, la paix comme valeur et vertu semble avoir moins de résonnance dans notre pays».
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