‘’Ce qui fera reculer le président Macky Sall, c'est le recours déposé auprès du Conseil constitutionnel’’. C'est du moins l'avis de Clédor Séne. Le leader du clair Vision a démenti les propos du député Farba Ngom qui accuse d’avoir soutenu le troisième mandat de Macky Sall. Avant de rappeler ses propos tenus devant la Division des investigations criminelles (DIC) et le juge. Il l’a fait savoir samedi lors du rassemblement pacifique du front FIPPU qui s'est terminé en queue de poisson.
« Pour ce qui est de l'élection présidentielle, en matière de fixation de la date, la constitution, le Conseil constitutionnel, sont des structures et organes habilités à connaître et à organiser des élections. Donc, c'est la prérogative personnelle du président de la République qui n'a pas besoin de concertation pour s'en acquitter, comme il n'a pas eu besoin de concertation préalable pour produire un décret convoquant le collège électoral », a déclaré Clédor Sène.
Poursuivant ses propos, M. Sène a ajouté : « Le rassemblement-là, n'est que l'expression d'une opinion. Ce qui fera reculer le président Macky Sall, c'est le recours déposé auprès du Conseil constitutionnel. Concomitamment aux manifestations et à la communication, il y a des actes institutionnels posés sur le terrain. Qui je crois cette semaine à venir va statuer dessus. Et si le Conseil constitutionnel prend ses responsabilités, je crois qu'il prendra une date à laquelle on partira aux élections avant l'expiration du mandat du président de la République. On doit tenir une élection avant le 2 avril, date d'expiration du mandat du président Macky Sall ».
Interpellé sur les accusations de Farba Ngom sur le 3e mandat, il soutient que tout le monde connaît sa position sur cette question. « Moi, j'ai dit à la Dic et auprès du juge, que si le président Macky Sall force le troisième mandat, non seulement, je sonnerai l'insurrection, mais je la dirigerais. Et j'ajoute ceci, que je vais assumer l'entière responsabilité pénale de tel propos. On ne peut pas me prêter l'intention de soutenir un troisième mandat. De toutes les façons, ces propos seront répondus par les actes. Les jours à venir l'opinion sera édifiée. Il ment, c'est pourquoi j'ai dit, on répondra par les actes », réplique Clédor Sène.
« Pour ce qui est de l'élection présidentielle, en matière de fixation de la date, la constitution, le Conseil constitutionnel, sont des structures et organes habilités à connaître et à organiser des élections. Donc, c'est la prérogative personnelle du président de la République qui n'a pas besoin de concertation pour s'en acquitter, comme il n'a pas eu besoin de concertation préalable pour produire un décret convoquant le collège électoral », a déclaré Clédor Sène.
Poursuivant ses propos, M. Sène a ajouté : « Le rassemblement-là, n'est que l'expression d'une opinion. Ce qui fera reculer le président Macky Sall, c'est le recours déposé auprès du Conseil constitutionnel. Concomitamment aux manifestations et à la communication, il y a des actes institutionnels posés sur le terrain. Qui je crois cette semaine à venir va statuer dessus. Et si le Conseil constitutionnel prend ses responsabilités, je crois qu'il prendra une date à laquelle on partira aux élections avant l'expiration du mandat du président de la République. On doit tenir une élection avant le 2 avril, date d'expiration du mandat du président Macky Sall ».
Interpellé sur les accusations de Farba Ngom sur le 3e mandat, il soutient que tout le monde connaît sa position sur cette question. « Moi, j'ai dit à la Dic et auprès du juge, que si le président Macky Sall force le troisième mandat, non seulement, je sonnerai l'insurrection, mais je la dirigerais. Et j'ajoute ceci, que je vais assumer l'entière responsabilité pénale de tel propos. On ne peut pas me prêter l'intention de soutenir un troisième mandat. De toutes les façons, ces propos seront répondus par les actes. Les jours à venir l'opinion sera édifiée. Il ment, c'est pourquoi j'ai dit, on répondra par les actes », réplique Clédor Sène.